Ah, la magie de la politique de l’offre : on nous vend ça comme la grande potion magique de l’économie. Mais en réalité, c’est surtout une tirelire géante pour les entreprises et les plus riches. Selon le livre-enquête Le Grand Détournement (Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre), ce sont 270 milliards d’euros par an qui s’évaporent sous forme d’aides, d’exonérations et de cadeaux fiscaux. (source : Le Monde)
Résultat ? Les caisses publiques se vident… mais les poches bien garnies se remplissent.
Quand les riches se gavent et que les autres paient l’addition
270 milliards, ce n’est pas une petite ristourne sur les tickets resto : c’est l’équivalent de plusieurs budgets de l’Éducation nationale.
Mais au lieu d’aller dans les écoles, les hôpitaux ou les retraites, cette manne file droit dans la poche des grandes boîtes, des actionnaires et des contribuables les mieux lotis.
Et nous, pendant ce temps ? On se fait sermonner pour « optimiser nos CV », on se fait culpabiliser parce que le français coûte trop cher en allocations chômage ou en soins de santé. Bref : eux encaissent, nous casquons.
La Macronie, reine des illusions fiscales
Évidemment, tout ça est emballé dans un joli discours :
– « Soutenir les entreprises, c’est soutenir l’emploi. »
– « Réduire les impôts des plus riches, c’est favoriser l’investissement. »
Traduction en langage Madame-Raleuse :
– « On engraisse ceux qui sont déjà repus. »
– « On appauvrit les services publics et on serre la ceinture des classes moyennes et populaires. »
Et comme toujours, quand ça coince dans les comptes publics, c’est la faute des citoyens. ils vivent « au-dessus de leurs moyens », paraît-il.
Le vrai grand détournement
Le titre du livre n’est pas exagéré : c’est bien un détournement. Pas celui qu’on voit dans les films avec des braqueurs en cagoule, mais un casse en col blanc, légal, validé par l’État, et applaudi par les éditorialistes.
Au final, la Macronie a inventé un système parfait :
- Les entreprises reçoivent sans trop de conditions.
- Les riches profitent d’exonérations.
- Les citoyens, eux, récupèrent la facture… avec en prime des sermons sur la « rigueur budgétaire ».
Moralité
En France, on ne taxe pas la richesse, on la subventionne.
Et si vous vous demandez où sont passés vos impôts, ne cherchez plus : ils sont déjà transformés en dividendes.
Bienvenue dans la République des cadeaux fiscaux, où le vrai slogan devrait être :
« À nous les profits, à vous les efforts. »
Pourquoi avoir des idées en France si on a plus aucun pouvoir !
Quand la République a les mains sales la démocratie est en danger.
« En France/UE Nous vivions dans une époque où des savants s’adressaient à des ignorants. » Effectivement, il fut un temps où c’était ainsi. Désormais, nous sommes dans une époque où les clowns s’adressent à des moutons bêlants »
Albert Einstein affirmait = « On ne résout pas les problèmes avec ceux qui les ont créés »
« Le problème de notre société aujourd’hui, c’ est que les gens, les politiques ne veulent pas être utiles mais importants. »
« L’Histoire du projet Européen en France depuis 1970, est une suite de mensonges sur lesquels des politiques et les médias se sont mis d’accord, contre le peuple »
Une crise qui dure depuis 50 ans, ce n’est pas une crise mais un système.
Ce n’est pas le problème de la dette le plus important, mais de mettre en œuvre la meilleure solution d’economie pour tous les français. Que l’état, les collectivités locales Français fassent des économies et cessent d’augmenter les prélèvements d’impôts et taxes!
Frédéric BASTIAT disait« Quand le pillage devient un moyen d’existence pour un groupe d’hommes, qui vit au sein de la société , ce groupe finit par créer pour lui-même tout un système juridique qui autorise le pillage et un code moral qui le glorifie . «
On peut facilement identifier une vraie Dictature, mais il est difficile d’éliminer une fausse démocratie comme en France, USA, UE. Article 16 en France !
-Bertolt BRECHT (est un dramaturge, metteur en scène, écrivain et poète allemand. Poursuivi par les NAZIS) disait le fascisme n’est pas le contraire de la démocratie, mais son évolution en temps de crise.