On croyait avoir tout vu depuis le Covid. Eh bien non.
En Vendée, des canards doublement vaccinés viennent d’attraper la grippe aviaire. Résultat ?
Nos brillants gestionnaires ont trouvé la solution scientifique ultime : une troisième dose. (source : France Bleue)
Parce que quand deux ne marchent pas, trois, c’est forcément mieux.
(Et si ça échoue encore, on inventera la quatrième — “par précaution”, évidemment.)
Des canards “protégés” qui tombent malades : le sketch continu
- Les faits (oui, ils existent) :
- Deux nouveaux foyers de grippe aviaire détectés dans des élevages de canards de Barbarie à Saint-Fulgent et Saint-Mathurin (Vendée).
- Les animaux étaient doublement vaccinés.
- Et pourtant, le virus circule gaiement.
- Résultat : la préfecture de Vendée met en place des zones de protection et annonce triomphalement… une troisième dose recommandée.
En langage politique, on appelle ça “persévérer dans l’absurde”.
Trois doses et un miracle ?
Selon la préfecture, “trois doses induisent un meilleur système immunitaire et une meilleure maîtrise de la transmission du virus”.
Oui, sauf que deux doses n’ont déjà rien maîtrisé du tout.
Mais qu’importe, on persiste.
On est en train de rejouer la même pièce qu’en 2021, mais avec des plumes et des palmes.
Et toujours le même scénario : l’échec du vaccin n’amène pas à revoir la stratégie, mais à multiplier les injections.
Et pendant ce temps, la facture enfle
Entre les campagnes de vaccination, les abattages préventifs, les indemnisations, les analyses et la communication ministérielle (“tout va bien, circulez”), les contribuables payent pour un protocole qui ne fonctionne pas.
Mais ne vous inquiétez pas : les labos, eux, n’ont pas la grippe.
Leur immunité financière est… totale.
