Ah, le Japon… pays des sushis, des mangas et désormais des citoyens armés de tableurs Excel pour faire trembler Big Pharma. Parce que pendant que l’OMS rêve de son traité pandémie, une joyeuse bande de bénévoles nippons a décidé de jouer les Sherlock Holmes du vaccin en lançant le “COVID-19 Vaccination Data Disclosure Request Project”. Rien que ça.
En clair ? Des citoyens demandent aux municipalités leurs données de vaccination, les compilent, les nettoient, les publient… et surtout les brandissent comme une preuve que les vaccins ARNm ne sont pas seulement “sûrs et efficaces”, mais aussi peut-être un poil… mortels.
Les chiffres qui piquent
Selon le site, plus de 25 millions de données ont été collectées au 9 août 2025. Tout ça grâce à des requêtes d’accès à l’information. Oui, au Japon, tu peux demander à ta mairie plus facilement qu’un justificatif de domicile en France.
Et avec ça, ils font quoi ? Ils comparent, ils trient, ils excluent les “faux positifs” (genre : “ah non, il était déjà mort avant le vaccin, ça ne compte pas”). Résultat : une jolie base qui permet d’affirmer que certains lots de vaccins seraient… comment dire… dangereux comme une boule de fugu mal découpée.
Une base citoyenne, pas une secte
Les concepteurs insistent : tout est fait par des bénévoles.
L’idée est séduisante : pas de ministère, pas de Pfizer, pas de médias “vendus”, juste des citoyens, un tableur et une volonté farouche de “rétablir la vérité”.
Objectif affiché : renverser la politique vaccinale
Leur mission ? “Scientifiquement exposer les risques”. Traduction : montrer que mourir juste après son injection, ça existe.
Le site rêve d’un usage massif : comparer les décès région par région, repérer les “lots tueurs”, et même servir de support aux experts pour rédiger des papiers. Parce qu’après tout, si l’État ne fait pas de stats, il faut bien des citoyens lambdas pour faire leur travail.
Excel vs OMS : qui croire ?
On a donc d’un côté des citoyens japonais, et de l’autre des institutions internationales qui martèlent que tout va bien. Entre “la science” et “le peuple”, le fossé continue de se creuser.
Mais au fond, ce site est surtout une illustration : quand la confiance s’évapore, les gens créent leur propre OMS dans leur garage. Et ça, Big Pharma n’a pas fini de le digérer.