Madame-Râleuse.com explore le discours de Hassan Nasrallah et le rôle des États-Unis dans un conflit au Moyen-Orient. Attachez vos ceintures, car l’ironie est de mise ! (source : Huffpost)
L’entrée fracassante de Nasrallah dans la diplomatie
Ah, c’est tellement réjouissant de voir Hassan Nasrallah et la bande du Hezbollah faire leur entrée fracassante sur la scène de la diplomatie internationale, n’est-ce pas ? Qui a besoin de subtilité quand on peut tout simplement laisser échapper quelques indices sur sa volonté de participer à un conflit, n’est-ce pas ? Le discours de Nasrallah était un chef-d’œuvre de déni plausible.
Donc, selon Nasrallah, le Hezbollah est “dans la bataille” depuis le 8 octobre, mais ne sautez pas aux conclusions – ils sont là pour offrir un soutien moral, j’en suis sûr. Et pourquoi ne le feraient-ils pas ? Je veux dire, qui ne rêverait pas de participer à une bonne vieille fête du conflit au Moyen-Orient ? C’est tout ce qui se fait de nos jours.
Et les raisons de cet intérêt soudain pour les relations internationales ? Eh bien, bien sûr, il a fallu le justifier ! Tout tourne autour des prisonniers israéliens, de Jérusalem, d’Al-Aqsa, de Gaza et de ces menaces embêtantes pour les Palestiniens. Je veux dire, il n’y a vraiment aucune autre façon de résoudre ces problèmes, non ? Menacer d’annihiler ses voisins semble être une réaction parfaitement raisonnable.
Les réclamations de Nasrallah et le bouc émissaire américain
Mais attendez, Nasrallah insiste sur le fait qu’ils n’ont rien à voir avec cette attaque du Hamas le 7 octobre. C’était juste une décision palestinienne, vous savez. Le club des fans du Hezbollah n’y est pour rien, non non. Ils étaient probablement juste trop occupés à préparer une vente de gâteaux ou quelque chose du genre.
Et la cerise sur le gâteau, c’est de blâmer les bons vieux États-Unis pour tout. Parce qu’évidemment, c’est la faute de l’Amérique s’il y a une guerre à Gaza. Qui se soucie de la complexité de la géopolitique et des différends locaux quand on peut simplement pointer du doigt le grand méchant USA ?
Pendant ce temps, la Maison Blanche dit quelque chose comme : “S’il vous plaît, tout le monde, soyez sages. Nous n’essayons pas de provoquer quoi que ce soit ici.” Je suis sûr que Nasrallah et ses copains sont en train de discuter gentiment avec le Hamas autour d’une tasse de thé et de biscuits, en discutant de leurs projets de vacances d’été. Tout cela n’est qu’un énorme malentendu, non ?
Ah, la politique internationale – là où tout est d’une clarté cristalline et où personne ne joue jamais de jeux.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand Nasrallah joue aux échecs géopolitiques, le Moyen-Orient devient son terrain de jeu, et les États-Unis sont toujours les dindons de la farce, mais qui sert le thé ?
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