Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Produits importés bourrés de pesticides interdits : quand l’Europe fait son marché de l’hypocrisie

Ah, la grande foire européenne : ici on interdit, là on autorise, et au final c’est le consommateur qui croque la pomme… bien traitée à l’acétamipride.
Pendant que nos agriculteurs français se font étrangler à coups de normes et de surcoûts, les rayons des supermarchés se remplissent tranquillement de patates, fruits et gâteaux importés, parfumés à la sauce chimique que nous, pauvres Gaulois disciplinés, n’avons plus le droit d’utiliser.

Alors forcément, les producteurs français débarquent dans les magasins, pas pour chasser les promos, mais pour dénoncer une distorsion de concurrence grotesque : eux doivent jouer à la ferme bio Disneyland, pendant que leurs voisins italiens, espagnols ou polonais arrosent généreusement leurs cultures au pesticide « interdit chez vous, mais toléré chez nous ».

L’unité européenne, ce mirage parfumé à l’insecticide

On nous vend l’Europe comme un grand marché commun, sauf qu’il ressemble de plus en plus à une braderie à ciel ouvert :

  • En France, on serre la vis réglementaire, histoire de donner bonne conscience aux politiques.
  • Dans les autres pays, on ferme les yeux, parce qu’après tout, un peu de chimie dans l’assiette, ça passe mieux avec un drapeau étoilé.
  • Résultat : le consommateur paie plus cher, l’agriculteur français crève, et les produits importés bourrés de molécules interdites envahissent les caddies.

Mais que vaut « l’unité » quand le terrain de jeu n’a pas les mêmes règles ? Ça revient à organiser un match de foot où une équipe joue pieds nus pendant que l’autre court en crampons dopés. Évidemment, à la fin, ce sont nos agriculteurs qui se prennent le carton rouge.

La loi Duplomb, dernier clou dans le cercueil

C’est la conséquence directe de cette merveille de législation qu’est la loi Duplomb : plus de contraintes, plus de coûts, moins de compétitivité. Pendant ce temps, les 26 autres pays continuent de produire « légalement » ce que nous n’avons plus le droit de faire. Et bien sûr, ces produits circulent librement dans nos supermarchés. Libre-échange, qu’ils disaient…

Les agriculteurs ne comptent pas lâcher le morceau avant mi-septembre, histoire de rappeler que l’on ne nourrit pas un pays avec des slogans écologiques hypocrites, mais avec une agriculture qui a les moyens de tenir debout.

Alors, chers consommateurs, la prochaine fois que vous mettrez vos patates « importées » dans le panier, pensez que vous payez deux fois : une fois à la caisse, et une autre avec vos impôts qui financent les agriculteurs français en perdition. Merci Bruxelles, merci Paris.

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