Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Squat, justice et petits proprios : quand on vous explique que tout est normal… alors que rien ne l’est

Ah, la France ! Pays du bon vin, des bons fromages et… des lois qui transforment ton appartement en open-space pour occupant longue durée non invité.

Un lecteur m’écrit, furax : “Le RNB (Airbnb pour les intimes) est devenu un squat légal, c’est pour ruiner les petits propriétaires hors du cercle, et la justice ? Même pas la peine, c’est pas la même pour tout le monde !”
Alors on prend un café, on relit, et on se dit : il y a du vrai, du ressenti, et surtout… une bonne dose de ras-le-bol généralisé qui mérite d’être partagé.

Les joies du propriétaire version 2025

Tu mets ton bien en location courte durée, le voyageur arrive avec un sourire et une valise… et repart trois saisons plus tard (ou plutôt, il ne repart pas).
La plateforme hausse les épaules : “Désolé, c’est la loi.”
La mairie soupire : “Oui mais bon, c’est compliqué…”
La justice ? Elle te propose un rendez-vous… l’été prochain. Autant dire que si ton squatteur est jardinier, il aura eu le temps de récolter trois fois ses tomates sur ton balcon.

L’effet domino : quand les pauvres et les modestes trinquent aussi

Derrière le folklore du “touriste squatteur”, il y a un vrai problème : chaque logement qui passe en location courte durée, c’est un logement de moins pour la location classique. Résultat ? Les loyers montent, la concurrence explose, et devine qui en paie le prix ?
Les ménages modestes, les jeunes, et souvent les nouveaux arrivants (étrangers ou pas) voient les portes se fermer. Ce n’est pas qu’Airbnb les “vise” volontairement, c’est que le marché et les textes laissent filer la machine. Les proprios suivent la rentabilité, et ceux qui n’ont pas un dossier en béton… restent sur le trottoir.

Les copropriétés dans tout ça ?

Imagine le conseil syndical, en mode comité de crise, pour gérer le ballet des valises, les fêtes improvisées et l’ascenseur bloqué un samedi soir.
Tout le monde râle, mais personne ne veut payer un avocat pour changer le règlement. Résultat : ça continue, et ton immeuble devient l’auberge espagnole 3.0.

La politique du “on fait semblant”

Officiellement, on te vend une démocratie protectrice. En vrai ? On gère la contestation comme un parc à thème : assez de bruit pour donner l’impression qu’on agit, mais surtout rien qui dérange trop l’organisation en place.
Les lois sont là, leur application… disons que c’est comme le Wi-Fi d’un TGV : ça existe sur le papier.

Conclusion
Airbnb n’a pas inventé le squat, il a juste offert le room service. Et tant que les procédures seront plus longues qu’un conseil municipal sur la couleur des bancs publics, le petit propriétaire restera le seul à payer — en charges, en impôts et en ulcères. Mais chut, il paraît qu’on est protégés…

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