Des pesticides interdits en Europe continuent de nous empoisonner via des produits importés. Pomelos chimiques, riz toxique et thé aux résidus de néonicotinoïdes… (source : France Info) Et si tout ce que vous pensiez savoir sur vos courses n’était qu’un mirage ? Découvrez avec Madame-Raleuse.com comment des substances interdites se frayent un chemin jusqu’à vos assiettes sans la moindre honte.
Les pesticides interdits, ou comment les fruits et légumes importés nous réservent des surprises
Ah, les pesticides interdits, cette douce mélodie qui résonne dans nos assiettes ! Si on vous a dit qu’ils étaient bannis de l’Union européenne, c’était sans compter sur l’ingéniosité des importations et la magie des frontières ouvertes. On ferme la porte, ils entrent par la fenêtre. L’émission d’investigation « Vert de rage » nous livre une révélation aussi fraîche que le pomelo contaminé : des résidus de pesticides interdits sont retrouvés dans nos fruits, légumes et épices. Vous pensiez que le mot « interdit » signifiait quelque chose ? Il semblerait qu’il prenne des vacances lorsqu’il s’agit de nos chers produits importés.
Prenez ce pomelo venu tout droit de Chine. Ce n’est pas un simple agrume, c’est un cocktail chimique à lui tout seul, un mix de chlorpyrifos (neurotoxique, rien que ça) et de propiconazole (reprotoxique, pour pimenter le tout). Bref plein de mots savants qui donnent mal à la tête ! Et ça, c’est juste un fruit. Imaginez un peu ce que ça donne avec un bon bol de riz, de courgettes et de bananes plantains bien imprégnées de pesticides, le tout accompagné d’une prune de Tahiti. Une expérience gastronomique digne des plus grands laboratoires.
L’exportation made in France : quand l’interdit devient une marchandise bien vendue
Et ce n’est pas tout ! Nos amis de PAN Europe nous rappellent que nos tasses de thé, nos cafés du matin et même nos épices exotiques sont eux aussi de véritables cadeaux empoisonnés. Oui, chers amateurs de cumin, chaque pincée pourrait bien contenir un souvenir chimique de ces terres lointaines. Mais rassurez-vous, tous les produits importés ne sont pas concernés. Seulement deux fois plus que les produits cultivés localement. C’est rassurant, non ?
Puis, il y a l’Inde, ce grand fournisseur mondial de pesticides interdits. Avec près de 26,46 % des produits problématiques venant de là-bas, on peut dire qu’ils ont le sens du partage. Et si vous pensez que l’Europe est à l’abri, détrompez-vous : on produit nous-mêmes ces petites merveilles pour les envoyer là où elles sont encore légales. Le Brésil, l’Ukraine, la Russie… un vrai Tour du Monde de la toxine en bonne et due forme.
Et parce qu’on ne fait jamais les choses à moitié, même nos usines locales, comme celles de Syngenta et BASF, laissent des traces. Mais pas de panique, tant que les normes ne sont pas « toujours » dépassées, tout va bien. L’environnement est légèrement pollué, mais on nous rassure : tout est sous contrôle. Peut-être que bientôt, on pourra commander un « cocktail pesticide » directement au supermarché, histoire de ne plus faire les choses à moitié. Après tout, rien de tel qu’une bonne dose de neurotoxines avec son café du matin !
Citation de Madame-Raleuse.com
Certains pesticides sont interdits ici, mais bien présents dans votre assiette !
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