Bpifrance s’attaque au rachat du Doliprane, parce qu’il ne faut pas rigoler avec nos comprimés blanc !

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Le Doliprane, ce petit comprimé anodin, après l’annonce de la vente par Sanofi devient soudain l’enjeu d’une guerre financière internationale à coups de milliards. Madame-Raleuse.com vous dévoile comment Bpifrance et ses alliés comptent sauver nos maux de tête tout en protégeant des emplois. Spoiler : ça coûte bien plus cher que vous ne l’imaginez…

Cet antidouleur qu’on prend tous en pensant qu’il peut résoudre à peu près tout, de la migraine à la crise existentielle du dimanche soir, est au cœur de la bataille industrielle la plus brûlante de l’année. Alors, quoi de mieux que notre chère Bpifrance pour plonger dans ce bain d’aspirine économique ? La banque publique d’investissement s’apprête à injecter la modique somme de 150 millions d’euros dans Opella, la filiale de Sanofi qui, entre autres, fabrique ces petites pilules magiques. Parce qu’après tout, pourquoi ne pas placer l’argent du contribuable dans quelque chose que tout le monde consomme ?

L’enjeu national du « paracétamillionnaire » !

Sanofi, ce géant pharmaceutique qui fait la pluie et le beau temps sur notre stock de Doliprane depuis des décennies, a décidé qu’il était temps de vendre sa filiale de médicaments sans ordonnance. Et là, attention, on parle d’une somme rondelette de 15 milliards d’euros ! Pourquoi tant d’argent pour des boîtes de pilules à 2 euros ? Ah, mais c’est que derrière le Doliprane, il y a deux usines en France et près de 1000 emplois. Vous comprenez, le gouvernement ne pouvait donc pas rester les bras croisés. Imaginez un instant : le Doliprane fabriqué ailleurs qu’en France… Quelle tragédie nationale !

Évidemment, Sanofi a promis d’étudier toutes les offres sérieusement. Mais soyons clairs : dans cette bataille féroce entre fonds d’investissement, l’Américain Clayton, Dubilier & Rice (CD&R) arrive armé jusqu’aux dents. Avec un portefeuille de 26 milliards d’euros, il pourrait littéralement acheter la concurrence et probablement toute la pharmacie d’un coup. De son côté, le Français PAI fait de son mieux avec ses petits 7 milliards d’euros, mais il va devoir trouver des alliés… et rapidement !

Les grandes manœuvres et le retour de nos amis du Golfe

Face à l’ogre américain, Les fonds Français PAI sort son atout magique : l’appel aux amis du Qatar et d’Abu Dhabi. Parce qu’il n’y a rien de plus français que de s’associer avec des fonds souverains du Golfe, n’est-ce pas ? Ils sont bien connus de Bpifrance, assure l’entourage de PAI. Bien sûr, parce qu’on ne prête pas 150 millions d’euros sans avoir partagé quelques dîners bien arrosés en bonne compagnie.

Pendant ce temps, Bpifrance, notre sauveur de la souveraineté industrielle, reste tranquillement en coulisses, prête à se ranger du côté du gagnant, tout en s’assurant que le Doliprane reste bien « Made in France ». Car s’il y a bien une chose qu’on ne peut tolérer, c’est d’imaginer un comprimé de Doliprane fabriqué ailleurs qu’à Lisieux, là où l’usine brille grâce à ses 20 millions d’euros récemment investis par Sanofi. Ça, c’est de la diplomatie industrielle !

Et la santé dans tout ça ?

Mais rassurez-vous, cette bataille n’a rien à voir avec l’envie de maximiser les profits. Non, non, tout ça, c’est pour garantir que le Doliprane continue d’être produit en France, pour protéger les emplois. C’est comme si le gouvernement et Bpifrance se disaient : On ne peut pas se permettre une pénurie de Doliprane, surtout pas après le Covid ! Priorités, vous disiez ?

En somme, préparez-vous à un dénouement épique : entre les offres mirobolantes, les réunions secrètes avec des émirats, et l’intervention quasi héroïque de Bpifrance, le Doliprane est désormais bien plus qu’un simple comprimé pour soigner vos maux de tête. Il est devenu un symbole national, une arme dans la grande guerre économique mondiale, et probablement l’un des investissements les plus « stratégiques » de cette décennie.

Alors, la prochaine fois que vous avalerez un Doliprane, n’oubliez pas de remercier Bpifrance et ses petits copains des Émirats. Parce qu’après tout, sauver la souveraineté industrielle française, ça passe forcément par un petit cachet, non ?

Citation de Madame-Raleuse.com

Quand la souveraineté industrielle passe par un comprimé blanc !

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Doliprane fabriqué ailleurs qu’en France, un scandale ou une simple pilule à avaler ? Dites-nous ce que vous en pensez dans les commentaires !

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