Macron, le Rafale et la mèche rebelle : au Salon du Bourget, même la gravité n’en peut plus de lui

Le Salon du Bourget, temple de l’aéronautique et des délires en costard.
Cette année encore, la France voulait montrer ses muscles technologiques. Sauf que voilà, on a surtout vu la mèche de Macron. Ou plutôt son écureuil fou perché sur le crâne, qui a tenté une évasion capillaire en plein direct face aux journalistes.

Parce qu’au Frankistan, même les cheveux veulent se faire la malle.

Rafales, promesses et mèches en vrac

Notre Jupiter de l’Élysée a bien tenté de faire illusion. Costard cintré, langage techno et grand discours avec des grands mots.
Mais entre deux phrases toutes faites sur l’excellence française, un événement de haute turbulence s’est produit :
La Mèche. Oui. Majuscule.

Cette mèche rebelle, qu’on croyait domptée par des litres de gel d’État, s’est redressée en plein direct.
Un signe du destin ?
Une alerte capillaire ?
Ou tout simplement le dernier poil libre de ce pays en burn-out démocratique ?

« Le Rafale est un fleuron… »
Zbrrr fait la mèche.
« Nous investissons dans l’avenir… »
Frrt répond la touffe.

On aurait dit un concours de pirouettes entre ses phrases creuses et sa capillarité incontrôlée.
À se demander si ce n’est pas la mèche ne tentait d’échapper à la novlangue présidentielle avant le reste du pays.

Une image vaut mille facepalms

Les photographes se sont certianement régalés. Entre Bayrou coincé dans un Rafale (cf. épisode précédent) et Macron victime de son propre vent de face, la France a officiellement perdu le contrôle de son storytelling.
On voulait vendre des avions.
On a exporté une mèche républicaine.

“Un président peut diriger un pays… mais pas toujours ses cheveux.”
— Confucius, probablement

Et le fond, dans tout ça ?

Ah, le fond. Celui qu’on ne verra jamais. Parce que pendant qu’on parle de souveraineté aéronautique, la France laisse ses brevets s’envoler, ses ingénieurs partir, et sa politique industrielle se crash test en open-space.

Mais hé, on a encore une mèche en liberté. C’est toujours ça de pris.

L’écureuil fou qui lui sert de toupet se rebiffe !

😱😱😱

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— Alexis Poulin (@Poulin2012) June 20, 2025

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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