Après le grand cirque des vaccins ARNm, place à la nouvelle lubie des biotechs : des vaccins contre le cancer. Brenus Pharma, le nouveau prodige des injections miracles, lève des millions pour tester ses solutions futuristes sur des patients en mal de traitement. Mais sommes-nous prêts à devenir les cobayes de demain ? Madame-Raleuse.com dénonce cette nouvelle ruée vers l’expérimentation humaine. Accrochez-vous, ça pique ! (source : My pharma)
Après l’ARNm, êtes-vous prêts pour un nouveau tour de cobayes ?
Ah, le bon vieux temps où l’on se demandait encore si se faire injecter de l’ARNm pour combattre un virus microscopique était une idée lumineuse ou juste une tendance passagère ! Maintenant que tout le monde ou presque a testé ce genre de nouvelle technologie (pour le meilleur ou pour le pire), voici la nouvelle sensation biotech du moment : les vaccins contre le cancer. Oui, chers lecteurs, c’est reparti pour un tour ! Cette fois-ci, on ne parle pas de grippe 2.0 mais bien de cellules tumorales fantômes (ça fait peur rien que de l’écrire).
Et c’est Brenus Pharma qui entre en scène avec sa plateforme futuriste STC. Leur dernier chef-d’œuvre, le STC-1010, promet d’armer votre système immunitaire comme un Rambo des temps modernes, prêt à dézinguer toutes les tumeurs sur son chemin. Finies les petites alertes pandémiques, cette fois on s’attaque au cancer colorectal ! Alors, êtes-vous prêts à devenir les pionniers d’une nouvelle révolution thérapeutique, ou préféreriez-vous attendre que quelqu’un d’autre goûte au plat du jour ?
Cancer : la nouvelle vache à lait des biotechs ?
Brenus Pharma a réussi à lever 22 millions d’euros, une bagatelle en comparaison des milliards brassés par Big Pharma pour les vaccins ARNm. Mais, c’est un début. Ce petit pactole va servir à tester leur STC-1010, non pas sur des rats de laboratoire, mais sur des patients réels. L’objectif ? Voir combien de temps ils survivent sans progression de leur cancer. En d’autres termes, combien de temps il faudra avant qu’ils aient besoin d’une autre dose. Charmant, non ?
Le tout soutenu par des fonds publics et privés, bien sûr. Car après tout, si on peut injecter de l’argent public dans des projets à hauts risques pour ensuite faire payer le prix fort aux patients, pourquoi se priver ? Entre la promesse de sauver des vies et la perspective de profits colossaux, on se demande bien ce qui motive vraiment tout ce beau monde.
Alors, préparez-vous à devenir les cobayes de demain, car après le Covid, le nouveau mot à la mode, c’est cancer. Qui sait, peut-être que d’ici quelques années, on recevra notre dose de STC-1010 avec autant de nonchalance que celle du bon vieux vaccin de la grippe.
Citation de Madame-Raleuse.com
Après l’ARNm, c’est au tour du cancer de faire de nous des cobayes.
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