« Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir »… sauf si vous êtes en France, auquel cas l’espoir doit d’abord passer par un comité, un formulaire Cerfa, trois essais randomisés et l’approbation d’un directeur des ressources humaines hospitalier.
Bienvenue dans le monde merveilleux de la cancérologie à la sauce Frankistan. Là où l’on sauve des bras, des jambes, des enfants — mais surtout des postes de technocrates.
L’unité du Dr Nicole Delépine : un service de cancérologie, pas un abattoir.
Pendant des années, un petit miracle discret a eu lieu dans un coin oublié du système hospitalier français. Une unité dirigée par le Dr Nicole Delépine et son mari Gérard, où l’on osait encore croire en des traitements adaptés, des soins humains, et – sacrilège suprême – à la guérison. Oui, des enfants condamnés à l’amputation, à l’agonie ou à l’abandon étaient, contre toute attente, sauvés. Pas par des incantations new age ni des poudres de perlimpinpin : par une médecine individualisée, chirurgicale, éprouvée… mais non rentable pour les copains de Big Pharma.
Des enfants soignés au cas par cas, des parents écoutés, des traitements ajustés à l’état réel du malade. Bref, tout ce que notre médecine actuelle ne tolère plus : la nuance, l’humain, et surtout, l’efficacité.
Amputez, irradiez, encaissez : bienvenue dans l’oncologie 2.0.
Mais voilà, dans la grande usine à patients de l’UERSS médicale, on ne soigne pas, on standardise. Vous avez une tumeur ? Pas besoin d’un médecin, un algorithme suffira. Dose unique pour tous. Résultat unique aussi : des enfants au bout du rouleau, des familles broyées, et des médecins qui, s’ils osent sortir des clous, finissent hors-la-loi… comme le chirurgien qui a sauvé Salomé, aujourd’hui interdit d’exercer.
C’est ça, la médecine moderne : des logiciels de gestion de lits, des tableaux Excel de « taux de survie acceptable »… et des parents menacés de perdre la garde de leur enfant s’ils demandent un second avis. En Frankistan, la désobéissance thérapeutique est un crime plus grave que l’échec médical.
L’association Améthyste : contrebande d’espoir.
Aujourd’hui, l’unité du Dr Delépine est fermée. Sanitairement détruite. Trop humaine. Trop efficace. Trop libre.
Mais l’espoir continue de passer sous les radars, grâce à l’association Améthyste, fondée par d’anciens patients et leurs proches. On y trouve des témoignages aussi poignants que scandaleux : des enfants que l’hôpital public condamnait, et qui vivent aujourd’hui, grâce à une simple chose : qu’un médecin les regarde. Les touche. Les écoute.
Mais chut. Ce genre de médecine ne doit pas faire de bruit. Ça pourrait rappeler à certains que leur inhumanité tue plus que la maladie.
Un livre à lire et à faire lire : Du cancer à la vie
Dans un monde où l’on nous vend la mort programmée sous blister, ce livre est un uppercut. Vingt témoignages de guérison, de résistance, de familles entières sorties de l’enfer hospitalier grâce à une autre médecine. Une vraie. Une médecine de terrain, pas de plateaux télé.
Conclusion (ou appel à l’insoumission médicale)
Madame-Raleuse.com ne vous dira pas quoi faire si un jour la maladie frappe à votre porte. Mais elle vous dira ceci : dans un pays où l’on doit se cacher pour vivre, mentir pour soigner et lutter pour être entendu, il est temps de désobéir.
À tous les bureaucrates de la mort douce : vous n’aurez pas notre espérance.
Et surtout pas nos enfants.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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