Guerre en Ukraine : un observateur français balance tout sur la censure, la propagande, et les mensonges occidentaux (mais chut, faut pas le dire trop fort)

Benoît Paré, ancien haut-fonctionnaire français envoyé par l’OSCE en Ukraine, vient de commettre un crime de lèse-propagande : il a dit la vérité. Et devinez quoi ? Ça pique. Beaucoup.

Dans un monde où l’Occident brandit la démocratie comme une pancarte en carton pâte devant un rideau de missiles, Benoît Paré fait tache. Ou plutôt, il détonne.
Observateur international envoyé par l’OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe), il a passé 7 ans sur le terrain ukrainien, à documenter ce que les experts de plateau ne verront jamais : les faits. Les vrais. Pas les scénarios validés par Washington ou Bruxelles.

Résultat ? Il publie « Ce que j’ai vu en Ukraine (2015-2022)« , un journal de guerre qui flingue la doxa médiatique, met à nu les manipulations internes de l’OSCE, révèle les falsifications des rapports… et surtout, ose dire que les méchants ne sont pas toujours ceux qu’on vous désigne dans le JT de 20h.

« 72 % des victimes civiles étaient du côté séparatiste »… et ça, fallait pas le dire

Premier coup de tonnerre : le rapport de 2016 de l’OSCE prouve que la majorité des victimes civiles étaient côté Donbass. Logique, non ? Bah non.
Car l’Ukraine a crié au « rapport manipulé par la Russie », et l’OSCE a retiré ses données, la queue entre les jambes.
Et la suite ? Plus de statistiques. Plus de vérité. Juste des chiffres globaux, flous, inexploitables. Et vive la transparence.

« C’est une trahison fondamentale du devoir de vérité », dit Benoît Paré.
(Traduction : bienvenue dans l’UERSS, les amis.)

Manipulations internes à l’OSCE ? Même pas discrètes.

Benoît raconte comment des rapports de patrouille ont été purement falsifiés. Une ville bombardée côté séparatiste ? Hop, on change le nom, on fait croire que c’est l’armée ukrainienne qui a été visée.
Le tout sous la plume d’un ancien de la NED (la vitrine pseudo-démocratique de la CIA) devenu observateur OSCE.
Mais attention : « erreur humaine », dit-il. On n’est pas à un foutage de gueule près.

Et ça continue : à Kiev, une responsable de la rédaction des rapports (en couple avec un officier des services secrets ukrainiens, le SBU — coïncidence, bien sûr) aurait à deux reprises modifié les faits pour blanchir Kiev et noircir le Donbass.

L’attaque de la maternelle ? Une incohérence énorme, vite exploitée

17 février 2022, bombardement d’une école maternelle à Stanitsa Louganska, avec enfants à l’intérieur.
Tout est là pour la photo dramatique, le storytelling émotionnel, et un sommet international le lendemain.

Mais problème :
– les obus ne viennent pas du côté accusé ;
– les observateurs n’ont pas le droit d’approcher les lieux ;
– et la vice-ministre de la Défense ukrainienne arrive trop vite pour que ça sente bon.
Résultat : un scénario parfait pour accuser les Russes à la veille de l’invasion, avec Zelensky qui fait son show à Munich.

“C’est du jamais vu”, dit Benoît Paré. Pas l’attaque. L’interdiction faite aux observateurs d’entrer.

La fabrique du consentement : Kosovo, Irak, Ukraine, même recette

Benoît Paré le dit sans détour : ce qu’il a vu en Ukraine lui a ouvert les yeux sur la manipulation occidentale depuis des décennies.
– Kosovo ? Déclenchement sur un faux massacre.
– Irak ? Une fiole bidon.
– Ukraine ? Une série de « massacres médiatiques » calibrés pour l’opinion publique, parfois sans autopsie, ni preuve, ni procès.

Et pendant ce temps, les seuls chiffres sourcés, recoupés, vérifiés… sont enterrés.

Un livre à lire avant qu’il soit blacklisté

Ce qu’a vu Benoît Paré, ce sont des faits.
Ce qu’il dénonce, ce sont les silences organisés, les manipulations, les pressions diplomatiques.
Ce qu’il défend, c’est une chose qu’on croyait ringarde : la vérité.

Alors, si vous voulez comprendre pourquoi l’OSCE a préféré se taire, pourquoi l’opinion publique européenne bêle avec la même voix que CNN, et pourquoi certains crimes ne sont jamais montrés sous le bon angle, ce livre est fait pour vous

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Et surtout, dites-moi : combien de vérités enterrées faudra-t-il pour que les citoyens comprennent qu’on les mène à la guerre… les yeux bandés et les oreilles bouchées ?

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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