Écomomie Santé

Ursula von der Leyen offre 360 millions d’euros à GAVI sous le regard attendri de Bill Gates… et balance 2 milliards au total pour “la vaccination de masse”

Delphine Fiechter

Et pendant que les hôpitaux ferment, que les pompiers dorment dans leur camion faute de caserne, que les soignants virés pour “non-injection” galèrent à se reconvertir en vendeurs de gaufres véganes, Ursula la Généreuse claque 360 millions d’euros supplémentaires pour GAVI. Oui, GAVI, cette alliance philanthropico-pharmaceutico-opaque qui a pour hobby de vacciner la planète entière — avec le soutien inconditionnel de notre Billou national, Bill Gates lui-même, venu applaudir en costard propre sur lui, sourire Colgate inclus.

Mais attention, 360 millions, c’est pour l’entrée. Pour le plat de résistance, elle a sorti 2 MILLIARDS D’EUROS. (source : Gavi)Oui, 2 milliards. De “Team Europe”, disent-ils, c’est-à-dire notre pognon, celui des Français, des Italiens, des Roumains, et même des Luxembourgeois, si si, tout le monde met dans la tirelire à piqûres mondialisées.

La nouvelle charité européenne : pique, paye, tais-toi

Sous couvert de “vaccination de masse” (c’est dit comme ça, texto, sans rire ni frisson Orwellien), on refile des milliards à une structure non élue, co-fondée par la Fondation Gates, avec un business model aussi clair qu’un contrat Pfizer caviardé.

Mais chut, hein. Parce que quand c’est pour sauver des vies dans des pays lointains, c’est forcément bien. Même si on ne sauve plus rien chez nous. Même si la moitié des enfants africains sont “vaccinés” sans aucun consentement parental digne de ce nom, ni infrastructures de suivi médical. Même si les effets secondaires ne sont pas suivis. Même si les fabricants sont juridiquement intouchables. Même si tout ça sent la philanthropie sponsorisée par les dividendes.

Bill Gates, CEO du monde vacciné

On l’imaginait déjà en blouse blanche, il est désormais en smoking. Il applaudit, il sourit, il s’engage à verser 1,6 milliard de dollars via sa fondation. Mais attention hein, c’est pour la bonne cause : sauver des enfants, lutter contre la rougeole, etc. Rien à voir avec l’idée de mainmise sanitaire globale, ni de récolte de données de santé mondiales, hein. Juste un gars sympa avec un chéquier plus gros que le PIB de la Moldavie.

Et Ursula dans tout ça ? Elle joue sa partition : propagande humanitaire, standing ovation, et petite larme à l’œil façon actrice qui n’a pas été nominée aux Oscars mais qui a décroché le prix du meilleur bail avec Big Pharma.

Et en France ? On ferme, on radie, on injecte ou on se tait

Pendant qu’on saigne les contribuables, qu’on ferme des classes, qu’on supprime les urgences, qu’on “réforme” la santé (traduction : on l’euthanasie lentement), on sponsorise à hauteur de milliards une organisation où Big Pharma est juge, partie, fournisseur et VRP.

Et si tu protestes ? Tu es complotiste, évidemment. Même quand les faits sont publics, les chiffres officiels, et les vidéos en ligne. Même quand la propagande se fait en direct, avec badges dorés et rubans bleus sur fond d’enfants africains.

Conclusion : Quand l’UE vaccine les pauvres, ce sont les riches qui jubilent

À force de jouer aux sauveurs du monde avec notre pognon, nos élites de l’UERSS ont fini par confondre philanthropie et trafic d’influence sous Botox. Car soyons honnêtes : ce ne sont pas les enfants africains qui sourient quand GAVI reçoit 360 millions d’euros pour financer, acheter et distribuer à tour de bras les vaccins. Et devine avec qui elle travaille ? Moderna, Pfizer, AstraZeneca, Johnson & Johnson… bref, toute la clique de Big Pharma. Pas de jaloux : quand y’a des milliards à injecter, tout le monde veut sa seringue.

Pendant que Bill Gates joue les bons samaritains à grand renfort de milliards bien médiatisés, nous, les gueux du Frankistan, on se fait taxer pour financer une stratégie de santé mondiale qui n’a jamais été débattue, jamais votée, jamais validée démocratiquement. Mais pas de panique, c’est “pour notre bien”.

Alors oui, applaudissons bien fort. Pas pour sauver des vies. Pour enterrer la démocratie.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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