Philippe de Villiers sur CNEWS : « Quand on tue un peuple, c’est un populicide » – cri du cœur contre le suicide assisté de la civilisation française

Il n’a pas fait dans la langue de bois. Ni dans le petit bois mort de la bien-pensance.
Philippe de Villiers a pris la parole sur CNEWS comme on envoie un javelot dans un champ de ruines. Verdict ?

« Quand on tue un peuple, ça s’appelle un populicide. »
Le mot est lâché. Tranchant. Détonant. Et, avouons-le, salvateur dans cette époque anesthésiée par les euphémismes en col roulé.

Quand De Villiers sort l’épée, la Macronie compte les plaies

Philippe de Villiers n’est pas venu faire de la figuration. Il a parlé « avec le cœur, sans faire deux détours ». C’est donc droit au but qu’il dénonce :

  • le changement de peuplement,
  • le changement de mœurs,
  • le changement de « merci »,
  • le changement de civilisation.

Oui, rien que ça. Et surtout… sans que personne n’ose nommer le crime.

« Nous sommes devant un crime. Le crime se cache derrière l’utopie. »
« Il ne s’agit pas d’un homicide. Il s’agit d’un populicide. »

Pendant que certains lèvent les yeux au ciel en cherchant la notice de la Novlangue 2030, d’autres comprennent le sous-texte : on est en train de tuer le peuple à coups de politiques migratoires, de désagrégation identitaire et de slogans creux.

La France des invisibles… mais pas celle que vous croyez

Il parle aussi d’une France silencieuse, humble, mais lucide :

  • d’une aide-soignante qui serre la main d’une vieille dame chaque soir comme un acte de résistance,
  • d’un policier qui embrasse ses enfants avant de partir avec un « à ce soir… peut-être »,
  • d’un jeune croyant qui a sauvé des vies sans faire exprès, avec sa foi pour seule arme,
  • d’un instituteur qui crée son école, avec levée de drapeau et exigence de sens.

Bref, la France debout dans la tempête, pendant que les élites déblatèrent dans leurs salons éco-bio-sécurisés.

Villiers, dernier troubadour d’une France qu’on enterre vivante

Alors oui, il cite Victor Hugo, des jeunes qui marchent, des chercheurs qui innovent…
Mais surtout, il crie que la France n’est pas morte tant qu’il reste un doigt pour rallumer la lumière.
Et ce doigt, ce n’est pas celui de l’index accusateur, ni du pouce levé des influenceurs… c’est celui du cœur.

On peut ne pas être toujours d’accord avec tout ce que dit De Villiers. Mais au moins, il parle. Il ose. Il nomme. Il dénonce.
Pendant que la majorité parlementaire cherche dans Google Translate ce que signifie « peuplement », certains regardent la France s’effondrer en silence, sans même avoir le droit d’en parler.

Alors, populicide ? Mot trop fort pour des oreilles trop fragiles ?
Peut-être.
Mais ce mot a au moins le mérite d’exister, face à un pays qui disparaît.

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