Madame-Raleuse.com dénonce avec véhémence cette nouvelle tendance : des spectacles pour enfants qui transforment Shakespeare en prétexte à la dépravation culturelle. Entre marionnettes et messages douteux, nos enfants sont les cibles innocentes de cette société pervertie. Curieux de savoir jusqu’où cela va ? Découvrez la suite, mais préparez-vous à être choqués…
Shakespeare, victime posthume d’un monde dégénéré
Ah, les enfants… Ces petites têtes blondes, innocentes, traînées de force par leurs professeurs dans un monde où le bon goût a disparu comme une vieille relique oubliée sous les décombres de notre société dégénérée. Que dire quand on voit que, désormais, leur éveil culturel passe par des spectacles tels que Le Songe d’une nuit d’été revisité par la compagnie Point Zéro en Belgique ? Ah, Shakespeare, mon cher Willy, tu dois faire des saltos périlleux dans ta tombe, voyant ta plus célèbre comédie transformée en marionnette pour éveiller… quoi au juste ? La perplexité ou le désespoir ?
Imaginez le décor : un théâtre subventionné jusqu’à la moelle par un gouvernement belge tout sourire, des multinationales comme ING qui paient leur dû via ce cher « tax-shelter« , et une Fédération Wallonie-Bruxelles fière de soutenir… quoi exactement ? Un spectacle où les elfes sont peut-être devenus des influenceurs TikTok et où Puck, le malicieux, troque ses potions contre des likes sur Instagram. Tout ça en coproduction avec un tas d’organismes au nom tellement pompeux que même un coq en perdrait son chant. Ah, la belle époque où l’on croyait encore à l’art…
L’art moderne, entre subventions et désillusion
Les enfants, eux, bien sagement installés, se voient littéralement bombardés par cette une mise en scène peu envieuse. Bien pire que les gâteaux trop cuits de la cantine, c’est là que commence leur plongée dans le grand bain des concepts flous et sexualisés. On imagine leur regard perplexe, oscillant entre un ennui profond et une confusion totale : “Mais qu’est-ce qu’ils essaient de nous faire comprendre ?” se demandent-ils peut-être, s’ils n’étaient pas encore trop jeunes pour saisir l’absurdité de ce lavage de cerveau déguisé en art.
Mais attention, ce n’est pas que du théâtre, c’est du théâtre avec du soutien ! Non, non, ici, on parle d’art sponsorisé. Avec le bon vieux tax-shelter fédéral belge qui fait briller les yeux des comptables. Ah, que c’est beau l’art, surtout quand on peut déduire une partie des frais en fin d’année fiscale ! Et hop, quelques applaudissements pour ING qui, en bon samaritain de la finance, soutient l’éveil culturel de ces chères petites têtes blondes – à moins que ce soit juste pour cocher une case RSE…
Le tout, évidemment, sous l’œil vigilant de la Fédération Wallonie-Bruxelles. C’est beau de voir une fédération se mettre en quatre pour promouvoir ce genre de « culture ». Liberté ? Art véritable ? Pfff, démodés. De nos jours, tout est permis tant que cela flatte les plus bas instincts, et les enfants, eux, sont des spectateurs parfaits, dociles et… malléables. Pourquoi donc éveiller leur esprit critique ? Autant leur apprendre dès maintenant que le « beau » et le « juste », c’est une affaire de tax-shelter et de coproductions savamment ficelées.
Que ce soit en Belgique ou en France, on peut légitimement se demander où nos chers dirigeants veulent en venir avec nos enfants, entre spectacles douteux et idéologies perverties déguisées en éducation culturelle.
Citation de Madame-Raleuse.com
Les marionnettes ne sont plus innocentes : elles enseignent la déchéance culturelle à nos enfants.
Exprimez-vous !
Êtes-vous d’accord avec cette nouvelle forme de « culture » pour nos enfants ou pensez-vous que nous franchissons les limites de la décence ? Donnez votre avis dans les commentaires !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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