Madame-Raleuse.com vous sert sur un plateau d’argent la nouvelle guerre des décibels : encore un coq qui chante, et toute la République tremble ! Quand un simple gallinacé devient le porte-voix d’une campagne en danger, ça donne le coq Ricco contre les voisins, ou quand la ruralité doit se taire… à votre avis, qui l’emportera ?
Isère : Ricco, le coq qui réveille la République
Ah, la campagne française ! Ce doux havre de paix, où le chant du coq rythme le lever du soleil et où, apparemment, certains voisins attendent qu’on leur déroule le tapis rouge du silence absolu dès qu’ils emménagent. Voilà notre dernière saga rurale : après le coq Caruso, voici Ricco, le gallinacé de Boussieu, est accusé d’un crime bien particulier. Non, il ne s’agit pas de déplumer ses congénères ou de voler des grains en cachette… mais de chanter trop fort. (source : 20 Minutes) Un scandale sensoriel de haute voltige !
Le cri d’alerte : « Sauvons Ricco ! »
Face à cette odieuse accusation, les propriétaires du coq ont décidé de contre-attaquer. Et quoi de mieux qu’une pétition en ligne pour mobiliser les foules ? Avec déjà 6 000 signatures, l’objectif est simple : interpeller le gouvernement. Oui, vous avez bien lu, le ministère de l’Agriculture doit maintenant se pencher sur les vocalises d’un gallinacé. Entre deux crises sanitaires mondiales et la gestion des subventions agricoles, voilà un sujet de première importance : assurer à Ricco son droit inaliénable de chanter à tue-tête.
Alors, que reproche-t-on vraiment à Ricco ? Ce n’est pas comme s’il s’égosillait dès l’aube ! Non, non. Ses propriétaires, véritables génies de l’innovation agricole, ont installé une ouverture automatique de poulailler pour retarder le réveil de leur cher volatile. Ricco n’émerge donc qu’à 8h30, voire 9h en été. Un coq qui respecte les grasses matinées, on n’en voit pas tous les jours ! Pourtant, cela ne semble pas suffire à la nouvelle voisine qui, en débarquant dans ce coin tranquille de l’Isère, s’attendait peut-être à plus de silence et moins de chants bucoliques.
Le chant du coq, patrimoine national ?
Et là, chers lecteurs, entre en scène l’idée révolutionnaire de nos valeureux propriétaires : faire du chant du coq un « patrimoine sensoriel » de la campagne française. Rien que ça ! Parce que, oui, dans une société où tout devient un sujet de débat, pourquoi ne pas légiférer sur les décibels des animaux de la ferme ? Si Maurice, l’illustre coq charentais, a pu marquer l’histoire, pourquoi Ricco n’aurait-il pas son heure de gloire législative ?
Un silence assourdissant dans les campagnes ?
On se demande jusqu’où ira la quête du silence dans les campagnes. Après les coqs, qui sera la prochaine victime des procès ? Les cigales, accusées de « chant continu en période estivale » ? Les vaches qui meuglent trop bruyamment en se levant ? Il serait peut-être temps d’édicter une charte des « bruits ruraux acceptables », histoire que les futurs habitants des zones campagnardes sachent à quoi s’attendre : ici, on chante, on bêle et on glousse. Et si ça ne plaît pas… on vous conseille un casque antibruit et une bonne dose de patience.
Alors, chers habitants des villes qui rêvent d’une vie au grand air, souvenez-vous : à la campagne, ce n’est pas vous qui décidez de l’heure du réveil… C’est Ricco !
Citation de Madame-Raleuse.com
Le silence à la campagne, c’est pour les citadins en mal de paix… mais à quel prix ?
Exprimez-vous !
Faut-il vraiment faire taire nos coqs pour préserver la tranquillité des néo-ruraux ? Donnez-nous votre avis dans les commentaires, la campagne est-elle devenue trop bruyante pour certains ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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il est bien plus naturel et agréable d’entendre le coq que les voitures ou les camions, irons nous demain supprimer tout les oiseaux chanteurs ?