Déremboursements à venir : soigner moins pour coûter moins

Quand la Sécurité sociale saigne, c’est toujours le malade qui écope.

15,3 milliards d’euros de déficit ? Pas de panique, le gouvernement a trouvé la solution : faire des économies… sur les malades. (source : L’Internaute)
Invité de LCP, le ministre de la Santé Yannick Neuder a proposé une cure d’austérité médicamenteuse. Parce qu’en 2025, on ne parle plus de santé publique, mais de rentabilité thérapeutique.

Médicaments « de confort » : le nouveau péché fiscal

Premiers visés : les médicaments remboursés à 15 %, jugés trop « confortables ».
Oui, vous avez bien lu : le confort, désormais, c’est suspect.
Vous voulez soulager vos jambes lourdes, votre acné, vos allergies saisonnières ?
Eh bien, préparez votre portefeuille. Le ministre préfère rembourser les traitements « à service médical rendu maximal ». Le reste ? Du luxe de patient.

ALD : bientôt un abonnement avec reconduction automatique ?

Deuxième cible : les Affections Longue Durée.
20 % des Français concernés, deux tiers des dépenses de l’Assurance Maladie.
Et là, le ministre sort sa perle :

« Est-ce que c’est un gros mot de dire qu’il faudra réévaluer l’ALD en cas de rémission ? »

Autrement dit : tu vas mieux ? Alors rembourse-toi toi-même.
La maladie reviendra ? Pas de souci, on vous rebranchera à la machine à sous Sécu.
Une forme de « pause santé », à activer vous-même. Parce qu’en 2025, même le cancer doit faire des économies.

Responsabilisation… ou culpabilisation ?

On nous parle de « responsabilisation de chacun ».
Traduction : le malade est responsable de son coût, et doit s’autocensurer.
La solidarité nationale devient une option conditionnelle, soumise à l’état de vos analyses… et de vos finances.

« Ce n’est pas un déremboursement, c’est un recentrage budgétaire sur les survivants. » – Madame-Raleuse

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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