Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Orientation dès la 5e : Borne raccroche la maternelle (mais de justesse)

Bonne nouvelle : vos enfants auront encore le droit de jouer à la pâte à modeler avant de choisir entre BTS maintenance ou année de césure humanitaire.

Après avoir failli transformer les maternelles en mini-Pôle Emploi, Élisabeth Borne revient avec un plan plus sobre : l’orientation scolaire commencera finalement en 5e. Ouf. (source : Huffpost)

Les enfants auront donc encore le droit de savoir faire du vélo avant de devoir « penser avenir », « tracer leur parcours », ou « définir leur compétence-clé ».

Quatre demi-journées pour réfléchir à sa vie avant l’âge légal du scooter

Le programme est simple :
➡️ Quatre demi-journées par an, de la 5e à la terminale, pour apprendre à s’orienter.
➡️ Une formation express pour les 30 000 profs principaux de 3e (oui, une demi-journée aussi, faut pas exagérer).
➡️ Un « programme de compétences à acquérir », sans doute aussi clair que Parcoursup un soir de résultats.

Bref, vous ne savez pas ce que vous ferez demain ? Pas grave, votre enfant de 12 ans, lui, va devoir se positionner.

Et après le bac ? Faites une pause. Mais productive.

Élisabeth Borne veut aussi promouvoir l’année de césure. Voyager, faire un service civique, se poser des questions existentielles… à condition que ce soit utile, bien sûr. L’oisiveté n’étant rentable qu’en Conseil d’administration.

Et pour les bacheliers pro ?
➡️ Un BTS en 3 ans, parce qu’un diplôme à rallonge, c’est mieux pour l’égalité des chances.
➡️ Des classes prépa aux écoles d’ingé rallongées aussi, histoire de ne pas créer de jaloux dans la souffrance.

Orientation ou tri social précoce ?

Même la Défenseure des droits s’en mêle, pointant un système « peu lisible, morcelé et inégalitaire ».
Et François Bayrou – soudain très concerné – dénonce une « orientation sociale ». C’est beau, la lucidité tardive.

Pendant ce temps, Élisabeth Borne parle d’émancipation, de leviers, de propédeutique pluridisciplinaire (on vous laisse le googler).
Traduction : on ne réforme pas l’école, on lui met des rustines lexicales.

« Il n’y a pas d’âge pour être paumé. Mais dès 11 ans, on te demande de choisir ton avenir. » – Madame-Raleuse

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