Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Emmanuel Macron honoré aux Global Citizen Awards : le paon doré qui se prend pour le maître du monde

Ah, le grand show ! Emmanuel Macron, notre président en chef d’orchestre des crises mondiales, vient d’être honoré aux Global Citizen Awards. Une cérémonie internationale où on célèbre les grands sauveurs du monde, ceux qui prononcent de belles phrases… même si, dans leur pays, les colères débordent et les urgences crient famine.

Évidemment. Il ne manquait plus que ça : un trophée international pour celui qui adore déjà parader comme si la planète entière était son balcon de l’Élysée.

Le paon fait la roue

Toujours à gonfler le torse, à minauder devant les caméras, Macron a trouvé son terrain de jeu préféré : les cérémonies mondialisées. « Leader profondément enraciné » ? Oui, enraciné dans le tapis rouge, dans les plateaux télé et dans son obsession de briller. On dirait presque qu’il attend qu’on lui offre un sceptre et une couronne pour compléter la panoplie.

Le maître des clés… mais pas de la maison France

Macron s’est même offert la punchline philosophico-marketing :
💬 « On peut être patriote sans être nationaliste. »
Traduction : « J’aime mon pays, mais pas au point d’écouter ceux qui y vivent. »
Il se rêve maître des clés de la guerre en Ukraine, conseiller géopolitique suprême, intermédiaire entre Biden, Zelensky et Poutine. Bref, une espèce de Gandalf de pacotille qui s’imagine capable d’ouvrir ou de fermer la porte de la paix à sa guise… pendant que les urgences ferment et que les profs partent en déprime.

Global Citizen, ou global enfumage ?

Soyons clairs : ces Global Citizen Awards, c’est la consécration du blabla. On récompense ceux qui excellent à discourir, pas ceux qui réparent. Macron coche toutes les cases : belles formules, allure de jeune premier, et un ego qui pourrait alimenter un satellite en énergie renouvelable.

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