Entrez dans le vif du sujet avec Madame-Raleuse.com : Découvrez comment Macron néglige l’immobilier au profit de ses selfies et pourquoi cette politique pourrait bien vous affecter. Ne manquez pas cette analyse percutante et réagissez dans les commentaires !
Macron et l’immobilier : Une relation compliquée
Ah, l’immobilier, ce joyau national, cet eldorado où les prix grimpent comme des alpinistes dopés à la caféine, où les transactions sont aussi rares que les apparitions d’OVNI au-dessus du pôle Nord, et où les maisons individuelles sont aussi accessibles qu’une invitation à dîner chez la Reine d’Angleterre. Mais apparemment, pour Henry Buzy-Cazaux, président fondateur de l’Institut du Management des Services Immobiliers, notre cher président Macron n’a pas exactement endossé son costume de sauveur de la patrie immobilière.
Parce que oui, mesdames et messieurs, pendant que la crise du logement prend des proportions épiques, Macron semble plus préoccupé par le nombre de selfies qu’il peut prendre avec des poules en déplacement dans des salons agricoles que par le nombre de toits qu’il peut mettre au-dessus des têtes de ses concitoyens.
Tout cela, bien sûr, alors que les indicateurs de la construction de logements plongent plus vite qu’un écureuil en parachute. Mais pas de panique, notre gouvernement est sur le pont ! Entre deux séances de sieste à l’Assemblée, nos vaillants députés pondent des textes de loi comme s’ils étaient payés au mot, et nos ministres jonglent avec des retouches réglementaires comme s’ils étaient des artistes du maquillage. Ça bouge tellement qu’on se demande s’ils font de la politique ou s’ils ont juste découvert le yoga du législateur.
Une vision radicale
Pourtant, malgré toute cette agitation, le marché immobilier ressemble de plus en plus à un désert où même les chameaux hésitent à investir. Les transactions sont en chute libre, le neuf est aussi populaire qu’une brosse à dents usagée, et les constructeurs de maisons individuelles ont plus de chance de trouver un trèfle à quatre feuilles que de vendre une maison. Mais pourquoi donc, me demanderez-vous ? Eh bien, c’est simple : les aides gouvernementales sont aussi rares qu’un steak saignant dans un restaurant végétalien.
Apparemment, pour Macron, l’immobilier doit subir une cure de désintoxication. Il veut voir les promoteurs et les constructeurs souffrir, se réinventer dans la douleur, comme des artistes maudits en quête de leur prochain chef-d’œuvre. Pour lui, pas question de dépenser un centime de plus pour sauver le secteur. Il attend juste que l’immobilier se prenne en main, qu’il se débrouille tout seul, comme un grand. On peut s’attendre à une pluie battante de chômeurs cherchant désespérément une entreprise qui oserait les embaucher. Bonne chance pour trouver un abri !
Pendant ce temps, les familles françaises se retrouvent à payer le prix fort. Parce que oui, pendant que Macron joue au visionnaire économique, la réalité, c’est que les gens galèrent à trouver un toit décent à un prix décent. Mais bon, tant qu’il peut continuer à se prendre pour le Steve Jobs de la politique, tout va bien dans le meilleur des mondes, n’est-ce pas ?
Citation de Madame-Raleuse.com
Macron, le maître des selfies, mais l’ouvrier de la crise immobilière.
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