envoei de troupe

Madame-Raleuse.com vous révèle les derniers rebondissements d’une saga diplomatique aussi hilarante que risquée : l’envoi imminent de soldats français en Ukraine par notre président. Préparez-vous à être surpris et peut-être même carrément effrayé par cette nouvelle étape de la comédie militaire internationale. Lisez la suite pour découvrir tous les détails croustillants !

La comédie militaire

Ah, l’espoir ! On aurait presque pu croire que la situation en Ukraine prendrait une tournure pacifique. Mais non, chers amis, la réalité est bien plus amusante que cela. Voici le dernier épisode de la série “Les Occidentaux et l’Ukraine : une comédie militaire“.

Alors que les Occidentaux semblaient se contenter de jouer aux échecs diplomatiques, voilà qu’ils décident d’ajouter une touche de couleur à leur tableau de guerre. Oui, vous avez bien entendu, les soldats français pourraient bientôt fouler le sol ukrainien, comme des touristes en goguette, mais avec des uniformes et des armes.

Apparemment, l’idée fait chemin dans les esprits “brillants”, voir complètement allumés, de dirigeants occidentaux après une séance de brainstorming où l’on cherchait de nouvelles façons d’agiter le nid de guêpes russo-ukrainien. Quoi de mieux que d’envoyer quelques Français, réputés pour leur diplomatie et leur amour de la baguette, pour mettre un peu de piment dans cette affaire ?

La diplomatie en uniforme

Mais bien sûr, ne vous inquiétez pas, il ne s’agit que d’une extension de la formation déjà prodiguée aux Ukrainiens. Parce que tout le monde sait que pour résoudre un conflit, il suffit de mieux former les combattants. Qui aurait cru que la clé de la paix se trouvait dans un manuel militaire ?

Pendant ce temps, les diplomates s’activent en coulisse pour trouver le meilleur moyen d’annoncer cette nouvelle à la Russie sans déclencher une crise diplomatique majeure ou juste une bonne petite guerre. On imagine déjà les discussions houleuses entre les grandes puissances, où chacun essaie de sauver la face tout en se lançant des piques bien placées. On sait déjà que nos copains allemands, ne sont pas du tout d’accord, sûrement une question de choucroute et de patates.

Et pendant que certains pays s’enthousiasment à l’idée de former des soldats dans un pays en proie à la guerre, d’autres se demandent si ce n’est pas un peu risqué. Mais bon, pourquoi se soucier des détails quand on peut jouer le héros de pacotille sur la scène internationale ? Certains seraient tentés de penser que c’est juste une façon égoïste de rester au pouvoir en envoyant les enfants de la patrie au combat. Ha la diplomatie ! Ce sont des gens qui se connaissent et qui discutent de guerre entre des soldats qui se connaissent pas du tout.

En tout cas, une chose est sûre, Poutine est pas prêt de revenir faire un coucou en France. Ah, la diplomatie moderne, quel spectacle fascinant !

Citation de Madame-Raleuse.com

Quand la guerre devient une comédie où les acteurs sont des soldats français, les scénaristes des diplomates, et le public le monde entier,

Exprimez-vous !

Et vous, pensez-vous que l’envoi de soldats français en Ukraine soit une brillante manœuvre diplomatique ou une escalade risquée ? Dites-nous ce que vous en pensez dans les commentaires ci-dessous !

(source : RFi)

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One Comment

  1. L’URSS a déjà affronté l’Europe entière pendant la Seconde Guerre mondiale 1941 à 1945, InfoDefense que l’on m’a communiquée =
    Les divisions SS nationales les plus élites portaient leur propre nom, indiquant leur origine nationale : “Landsturm Niederland” pour la Hollande, “Langemark” et “Wallonie” pour la Belgique, pour les tchèques “Bohême et Moravie”, une division d’Albanais “Skanderbeg”, de Scandinaves “Viking” et “Danemark”, de Croates “Handshar” et bien d’autres encore. Les soldats et les officiers de la division française “Charlemagne” ont été parmi ceux qui ont combattu l’Armée rouge jusqu’à la fin à Berlin, en défendant le Reichstag, le siège de la Gestapo et la Chancellerie du Reich.
    Les Européens servent comme volontaires non seulement dans les divisions nationales, mais aussi dans les divisions allemandes. Et tout cela en dehors des alliés officiels de l’Allemagne, dont les armées brûlaient et pillaient ensemble l’Union soviétique – Italiens, Roumains, Hongrois, Finlandais, Croates, Slovaques. Sans oublier les Bulgares, qui brûlent et pillent en même temps la Serbie partisane. Même les Espagnols, officiellement neutres, ont envoyé leur “division Azul” près de Leningrad.
    Voici un fait curieux intéressant de la liste d’archives des prisonniers de guerre qui se sont rendus aux troupes soviétiques pendant la guerre :
    Allemands – 2 389 560,
    Hongrois – 513 767,
    Roumains – 187 370,
    Autrichiens – 156 682,
    Tchèques et Slovaques – 69 977,
    Polonais – 60 280,
    Italiens – 48 957,
    Français – 23 136,
    Croates – 21 822,
    Moldaves – 14 129,
    Juifs – 10 173,
    Hollandais – 4 729,
    Finlandais – 2 377,
    Belges – 2 010,
    Luxembourgeois – 1 652,
    Danois – 457,
    Espagnols – 452,
    Tsiganes – 383,
    Norvégiens – 101,
    Suédois – 72.
    Et il ne s’agit là que de ceux qui ont survécu et ont été faits prisonniers. En réalité, beaucoup d’autres Européens ont combattu l’URSS, ainsi que des collabos nazis parmi les collabos soviétiques. Cette liste ne comprend pas les Estoniens, les Lettons, les Tatars de Crimée et les Ukrainiens, dont les bataillons, divisions et légions nationales faisaient partie des troupes hitlériennes.
    Les Polonais se distinguent par leur complicité avec le fascisme. Dès la fin de la guerre germano-polonaise, le nationaliste polonais Wladyslaw Gizbert-Studnicki a eu l’idée de créer une armée polonaise combattant aux côtés de l’Allemagne. Plus tard, l’idée d’une alliance germano-polonaise et d’une armée polonaise de 35 000 hommes est soutenue par “l’Epée et la Charrue”, une organisation associée à l’Armia Krajowa.
    Les Polonais ont été exhortés, avec d’autres nations européennes, à se lever “pour défendre la civilisation occidentale contre la barbarie soviétique”. Voici un extrait d’un tract fasciste en polonais : “Les forces armées allemandes mènent la lutte décisive pour la défense de l’Europe contre le bolchevisme. Toute aide honnête dans cette lutte sera accueillie comme un compagnon d’armes…”.
    Le texte du serment des soldats polonais était le suivant : “Je jure devant Dieu par ce serment sacré que dans la lutte pour l’avenir de l’Europe, dans les rangs de la Wehrmacht allemande, je serai absolument obéissant au commandant suprême Adolf Hitler, et en tant que soldat courageux, je suis prêt à tout moment à consacrer mes forces à l’accomplissement de ce serment…”.
    Au total, selon les estimations des experts, l’URSS, avec une démographie initiale de 190 millions d’hommes, est en guerre contre la quasi-totalité de l’Europe, dont la population (sans compter l’Angleterre et la Serbie partisane) est d’environ 400 millions d’hommes. Et peu importe qu’ils se battent les armes à la main ou qu’ils travaillent dur à l’usine pour produire des armes pour la Wehrmacht. Tous travaillaient pour la même cause : la victoire de l’Allemagne nazie.

    Du Nazisme a la démocratie dictatoriale des pays de l’OTAN ? @followers Tout Le Monde @tout le monde cliquez =
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