Majorité sexuelle à 9 ans en Irak ? Un projet controversé

Bienvenue en 2025, l’année où l’absurde côtoie l’inquiétant sur la scène internationale. Aujourd’hui, nous mettons le cap sur l’Irak, où un projet de loi en discussion propose que les petites filles atteignent à 9 ans une majorité sexuelle et puissent légalement être mariées. Parce que pourquoi protéger l’enfance quand on peut légiférer sur son exploitation ? Vous pensiez que tout avait été inventé en matière de régression des droits humains ? Eh bien, tenez-vous bien, la créativité des politiciens n’a pas de limites. (source : France-Info)

9 ans : âge de l’innocence ou de l’alliance ?

D’après un amendement au Parlement irakien, les autorités religieuses pourraient bientôt décider du droit de la famille, notamment l’âge minimum pour le mariage. Avant de crier au scandale, rappelons que la loi irakienne de 1959, qualifiée à l’époque de progressiste, fixait cet âge à 18 ans, avec des exceptions à 15 ans. Mais visiblement, pour certains, ce n’est pas encore assez bas. 9 ans, c’est pratique : ils savent lire un acte de mariage mais pas encore les lois qui pourraient les protéger. Pourquoi s’arrêter là ? Pourquoi pas 5 ans, histoire de ne pas gaspiller un potentiel « capital familial » ?otentiel « capital familial » ?

Et les garçons dans tout ça ? Pas d’inquiétude, eux ne pourront être mariés qu’à partir de 15 ans. Solidarité masculine oblige, on leur laisse un peu plus de temps pour grandir. Quant aux petites filles, elles, selon certains partis religieux, pourraient bien commencer à « profiter » des joies du mariage avant même de maîtriser les multiplications.

Un futur eldorado pour pédocriminels ?

Si cette loi passe, l’Irak pourrait devenir une destination prisée des criminels sexuels du monde entier. À la clef : des mariages religieux non déclarés, des abus institutionnalisés, et une exploitation rendue légale. Un jackpot sordide que dénoncent des ONG comme Human Rights Watch et Amnesty International.

Et la communauté internationale, dans tout ça ? Heureusement, les grandes puissances sont là, prêtes à agir… enfin, entre deux selfies avec des influenceurs ou une réunion sur le climat. Emmanuel Macron, avec sa passion pour « l’universalisme », pourrait peut-être s’interroger. Mais il semble difficile de trouver le temps quand on a une actualité diplomatique aussi « prioritaire ».

Des manifestations, mais à quel prix ?

En Irak, les femmes descendent dans la rue pour crier leur désespoir. Le problème ? Ce genre de contestation pacifique est souvent réprimé. Mais heureusement, l’histoire nous rappelle que ces amendements ont été rejetés par le passé. Crier dans le vide est peut-être un sport national en dictature déguisée, mais cela ne semble pas éteindre leur courage. On croise les doigts, car ce n’est pas le courage qui manque aux militantes, mais bien la volonté politique.

Et maintenant ?

Reste à savoir si ce projet cauchemardesque finira dans les poubelles de l’histoire ou dans les livres de loi. Une chose est sûre : si l’Irak veut saboter son avenir, il est sur la bonne voie. En attendant, on ne peut que souhaiter que la pression internationale et les manifestations locales parviennent à stopper cette machine infernale.

Dans ce contexte, la question reste ouverte : combien de temps encore le droit des enfants sera-t-il sacrifié sur l’autel des traditions archaïques ? À méditer… ou à hurler.

Citation de Madame-Raleuse.com

Autoriser le mariage à 9 ans, c’est légaliser l’exploitation de l’innocence. Où s’arrêtera la régression des droits humains ?

Exprimez-vous !

Pensez-vous que la communauté internationale réagira fermement face à une telle dérive, ou restera-t-elle une fois de plus spectatrice impuissante ?

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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