Ah, l’OMS, cette organisation au-dessus de tout soupçon (ou presque). Depuis son coup de projecteur mondial avec le Covid-19, l’institution jongle entre prophéties apocalyptiques et lobbying intense pour un traité pandémique façon « Donnez-moi vos clés, je gère tout ». Mais voilà, Donald Trump a décidé de dire « bye bye ». Et ce n’est pas une sortie discrète : il laisse l’OMS orpheline de son plus gros financeur. Sans les États-Unis, qui injectaient des montagnes de dollars dans ses caisses, l’organisation va devoir compter sur des poches plus profondes… mais moins étatiques.
Un départ fracassant, des conséquences savoureuses
Sans les billets verts américains, l’OMS devra apprendre l’art de la débrouille, façon téléthon sanitaire. Heureusement, les donateurs privés sont déjà prêts à se positionner. Après tout, pourquoi s’embarrasser d’États ? La fondation Bill & Melinda Gates, déjà très influente, pourrait bien devenir la véritable tête pensante de l’organisation. Imaginez un peu : les vaccins pourraient bientôt porter des slogans comme « Powered by Gates », et le logo Windows remplacer le traditionnel emblème de l’OMS. Innovation ou privatisation déguisée ? À vous de juger.
Et l’Europe dans tout ça ?
Pendant ce temps, l’Europe, fidèle à son rôle de bon élève à qui on pourrait refiler toutes les corvées, s’agite déjà pour combler le vide laissé par les États-Unis. Plus de contributions, plus de réunions interminables à Bruxelles, et surtout, un message clair : « Ne vous inquiétez pas, nous allons sauver l’OMS. » Parce que, soyons honnêtes, si l’Europe ne se précipite pas pour garder les roues de ce système bien huilées, qui le fera ? Les grands discours sur la solidarité internationale, ça coûte cher, mais c’est tellement chic à la tribune de l’ONU.
Un nouvel ordre sanitaire mondial ?
Alors, est-ce vraiment la fin de la dictature sanitaire ? Pas si vite. Ce retrait américain pourrait n’être qu’un changement d’acteurs dans la grande pièce de théâtre mondiale. Si l’OMS survit, ce sera grâce à un mélange savamment dosé de fonds privés et d’argent européen. Et qui dit argent dit influence. Les grandes décisions sur votre santé viendront-elles d’un politicien ou d’un milliardaire amateur de philanthropie ? La question mérite d’être posée.
Et Trump dans tout ça ?
Lui, il repart satisfait. Il a sorti son pays de l’OMS, refusant de jouer le jeu des prophètes de l’apocalypse. Et pendant que le monde s’agite autour des ruines du financement américain, l’Amérique regarde ailleurs, un pop-corn à la main. Pourquoi se soucier d’une organisation mondiale quand on peut investir dans le rêve américain, à domicile ?
Citation de Madame-Raleuse.com
« Sans les dollars américains, l’OMS devient-elle un jouet privé pour milliardaires ?
Exprimez-vous !
L’OMS peut-elle encore prétendre être indépendante ? Donnez votre avis, votre santé est en jeu !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Une bonne baffe à cette agence pourrie et corrompue de l’ONU! Super
Donald TRUMP entre autre dire la vérité et cela l’isole de son entourage mondial, il s’est préparé à cela !
Mais la puissance des USA le rapproche de ses ennemis contradicteurs.
Il va sûr Bill qui va injecté plus d’argent, déjà que l’OMS était corrompu mais là ça va s’aggraver, 196 pays dans l’OMS on peut dire qu’on est pas encore sorti de la galère