Accrochez-vous, car Michel-Edouard Leclerc dénonce un univers où les règles de l’Egalim sont contournées aussi facilement que les allées du marché de Rungis. Prêt à être éclairé ? Suivez Madame-Raleuse.com dans les coulisses sombres de l’industrie alimentaire
Le cirque de l’application des lois
Ah, quel charmant tableau de l’application zélée des lois par nos chers industriels et distributeurs ! Michel-Edouard Leclerc, le maestro des centres Leclerc, nous offre une performance comique inégalée lorsqu’il déclare, avec toute la finesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine, que la loi Egalim est aussi respectée que les bonnes résolutions de Nouvel An dans une pizzeria.
Imaginez ça : seulement 40% des acheteurs ont apparemment daigné jeter un œil à cette loi. Ah, la classe ! Et devinez qui fait la grève de l’application ? Tout le monde, sauf les courageux 40%. Les restaurants, les exportateurs, les grossistes… même les pauvres céréaliers, désespérés par l’idée de respecter une loi qui semble aussi exotique qu’un kangourou en Antarctique !
Une visite à Rungis
Ah, mais attendez, ce n’est pas fini ! Notre ami Michel-Edouard nous offre également une visite guidée à travers les délices de Rungis, ce paradis terrestre où la loi Egalim est aussi rare qu’un selfie de Bigfoot. On pourrait croire que dans ce havre de fraîcheur, tout le monde serait sur la même longueur d’onde en matière de respect des lois. Mais non ! À Rungis, c’est le Far West de l’achat-vente, où la transparence sur les conditions d’achat est aussi courante que la neige en plein été.
C’est tellement amusant de voir tout ce monde pointer du doigt la distribution pour son manque de respect des règles, tout en se défendant comme des chatons pris en flagrant délit de cambriolage. Ah, la belle hypocrisie ! On se demande ce qui arriverait si on appliquait réellement ces sanctions de 5 millions d’euros par infraction. Peut-être que nous pourrions financer un voyage sur Mars pour nos chers contrevenants, histoire de leur offrir un peu de vacances loin de la Terre et de ses lois embêtantes.
Citation de Madame-Raleuse.com
À Rungis, la loi Egalim est aussi rare qu’un steak végétarien dans un abattoir.
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Combien de temps encore allons-nous tolérer l’hypocrisie flagrante des acteurs de l’industrie alimentaire à Rungis et au-delà ? Partagez votre avis ci-dessous et contribuez à la discussion !
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