Crit’Air ou Crève : l’État vous colle 135€ pour votre vieille bagnole pendant que les riches respirent bio en ZFE protégée

Bienvenue dans la France des pastilles, du tri social par numéro de plaque, et de l’écologie punitive sur fond de racket organisé.
Car oui, désormais, si vous osez rouler sans votre vignette Crit’Air, cette sublime gommette écolo-bureaucratique, vous risquez jusqu’à 135€ d’amende. Vous pensiez encore vivre dans un pays libre ? Adorable.

🚦 Crit’Air : quand la pastille devient l’arme du tri social

Il y a quelques années, on vous vendait Crit’Air comme un petit outil « informatif ». Aujourd’hui, c’est votre laisser-passer obligatoire.
Crit’Air 0-2 ? Félicitations, vous êtes un citoyen modèle, probablement en leasing sur une Tesla.
Crit’Air 3 ou plus ? Bienvenue en enfer, vous êtes officiellement un pollueur de classe inférieure. Vous serez donc :

stigmatisé comme un danger public, à mi-chemin entre un SUV et un mégot mal écrasé.

banni des ZFE,

verbalisé par la maréchaussée verte,

ZFE : Zones Franchement Excluantes

Officiellement appelées « Zones à Faibles Émissions« , les ZFE sont des enclaves réservées aux bons élèves :

  • voitures récentes, hybrides, électriques,
  • ceux qui peuvent se payer du neuf tous les trois ans,
  • bref, pas vous, pas moi, pas les gueux.

Les ZFE sont déjà actives dans plus de 11 grandes villes (Paris, Lyon, Grenoble, Marseille…), et 42 villes supplémentaires les rejoindront d’ici 2026. Si vous habitez en périphérie et que vous avez besoin de votre voiture pour bosser ? Tant pis pour vous. Allez à vélo, et tais-toi.

135 euros dans les dents : le racket écolo assumé

Sans vignette Crit’Air :

  • 68 € d’amende pour un véhicule léger,
  • 135 € pour un poids lourd ou utilitaire,
  • et bientôt, des contrôles automatiques par caméras et radars « intelligents ».

Alors bien sûr, les ministres vous diront que c’est pour votre bien.
Mais vous, vous savez : c’est pour faire de la thune sur le dos des plus modestes. Ceux qui roulent en diesel de 2009, pas par passion, mais par nécessité.

Le smicard paie, pendant que le cadre sup’ recharge son SUV à Neuilly. L’écologie façon caste.

Les Français dociles ? Encore un petit effort, chers moutons.

Le vrai scandale, c’est qu’on vous impose ça en toute bonne conscience médiatique.
On vous dit que c’est pour « sauver la planète », pendant qu’on laisse les jets privés faire la navette entre Paris et Genève.
On vous dit que c’est une « transition douce », alors que vous n’avez ni les moyens, ni les alternatives.

Mais ne vous inquiétez pas : bientôt, Crit’Air sera automatiquement contrôlée par radar, et l’amende vous arrivera par SMS, avec option de paiement en 3 fois sans frais. On vit une époque formidable.

Madame-Raleuse vous le dit clairement :

Crit’Air n’est pas un outil de transition écologique.
C’est un outil de sélection sociale.
Une machine à exclure les pauvres des centres-villes, à les enfermer dans leurs campagnes « non conformes », pendant que les écolos technocrates respirent leur air pur sous cloche.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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