bruno le maire

Madame-Râleuse.com, aujourd’hui, lève le voile sur un scénario digne d’un thriller politique : Bruno Le Maire quitte la France pour la Suisse ! Est-ce une évasion prudente ou une désertion scandaleuse ? Plongez dans notre analyse piquante et découvrez les dessous de ce qui pourrait bien être le mouvement le plus audacieux de l’année !

Le grand saut de Bruno

Dans une tournure événementielle qui a surpris absolument personne (ou presque), notre très estimé ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a décidé de fuir la France tel les rats un navire. Il troque les douceurs du brie pour les délices du fromage suisse. Et pourquoi pas ? Après tout, si les rats quittent le navire, pourquoi ne pas suivre le capitaine ?

Selon des sources fiables comme les rumeurs de bistrot et les tweets à deux heures du matin, il paraît que Monsieur Le Maire envisagerait un poste à l’école polytechnique de Lausanne ou un siège bien confortable au Forum de Davos. Peut-être cherche-t-il à améliorer son ski alpin, ou peut-être est-ce juste son compte en banque qu’il souhaite alimenter. Qui sait?

Ce départ illustre parfaitement le principe du “sauve-qui-peut” financièrement parlant. Quoi de mieux que de s’installer au pays du chocolat et des coffres-forts anonymes pour échapper à la tempête économique qu’on a soi-même contribué à agiter ? Ah, l’ironie ! Bruno sait clairement quelque chose que nous ne savons pas encore, et par prudence (ou par peur de finir en méchoui populaire sur la place de la Concorde), il choisit la sécurité des montagnes suisses.

L’évasion fiscale pour tous ?

Rappelons-nous de cette sage maxime: “Quand le bateau prend l’eau, les premiers à savoir nager sont toujours les premiers partis.” Et à ce jeu-là, notre cher Bruno mérite une médaille d’or ! Il quitte notre Titanic qui est entrain de sombrer !

Alors que faire, chers compatriotes encore enracinés dans ce doux pays de France ? Peut-être devrions-nous envisager de suivre l’exemple de notre précurseur en matière d’exil fiscal et professionnel. Après tout, si Bruno peut le faire, pourquoi pas nous ? Et si vous n’avez pas les moyens pour un chalet à Gstaad, peut-être qu’un petit compte épargne en francs suisses pourrait au moins vous donner un avant-goût de l’exotisme helvétique.

Préparez donc vos valises, ou du moins vos portefeuilles, car si la barque nationale chavire, il vaut mieux avoir un canot de sauvetage prêt à naviguer vers des eaux plus tranquilles et nettement moins taxées.

Dans l’attente du prochain épisode, gardez vos gilets de sauvetage à portée de main et un œil sur le cours du franc suisse. Et n’oubliez pas, chers compatriotes, en finance comme en politique, il n’y a pas de petits profits, surtout quand on parle de survie !

En vous souhaitant à tous un exil fiscal aussi réussi que celui de notre cher ministre… ou au moins un bon chocolat suisse pour adoucir la nouvelle.

Citation de Madame-Raleuse.com

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One Comment

  1. Comme disait Mr Nelson MANDELA que j’ai rencontré :”Je ne perds jamais. Soit je gagne , soit j’apprends” et j’ai beaucoup appris, à 74 années.
    Pour comprendre le présent il faut comprendre le passé dans ses moindres détails.
    LA VERITE N’EST PAS FAITE POUR TOUT LE MONDE, MAIS SEULEMENT POUR CEUX QUI LA CHERCHENT !

    Ma Famille des résistants de la 1ere heure en 1940 à Marseille, des rues et avenue ainsi que décoration de la Grand-croix de la légion d’honneur, témoignent du sacrifice humains . Ma famille m’a appris cette curiosité nécessaire à la vérité et la cruauté des hommes et de la guerre. Quand ma famille tentait d’informer sur ce que faisaient les Nazis les français ne voulaient pas le croire.

    ADIEU à La France et Bonjour à la mondialisation, l’immigration, la désindustrialisation, l’importation de tous produits agricoles en particulier (qui détruit notre agriculture, nos industries), le développement du tourisme effrénés et la soumission aux USA/UE. LE DECLIN DEFINITIF, l’ANTISEMITISME accru et la DISPARITION de la France!

    Le problème de notre société aujourd’hui, c’ est que les gens, les politiques ne veulent pas être utiles mais importants.

    SEULS CEUX QUI RISQUENT , en particulier DE DIRE LA VERITE, SONT LIBRES !

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