Plongez dans les méandres de l’indécision politique en Nouvelle-Calédonie avec Madame-Raleuse.com. Découvrez comment 36 ans d’atermoiements ont mené à une impasse explosive. Accrochez-vous, ça va secouer !
La politique de l’autruche
Ah, la Nouvelle-Calédonie, ce petit coin de paradis où, depuis 36 ans, on pratique l’art subtil de ne jamais vraiment choisir entre indépendance et intégration. «Allons enfants de la patrie, aujourd’hui ne décidez rien !» pourrait être leur devise. En 1988, nos grands penseurs politiques ont décidé, par un esprit de compromis digne d’un épisode de «Game of Thrones», de ne pas trancher. Et voilà que Benjamin Morel, un universitaire qui semble avoir tout le temps du monde pour réfléchir à ces questions, nous rappelle que cette indécision crée juste un peu plus de suspense.
Figurez-vous que les émeutes à Nouméa ne sont pas juste des parties de pétanque qui dégénèrent, mais le résultat de décennies de politique de l’autruche. Bravo ! Qui l’eût cru ? Apparemment, ignorer un problème ne le fait pas disparaître. Quelle révélation !
L’article de Benjamin nous sert une leçon d’histoire avec un zest de sarcasme sur l’idée géniale de geler le corps électoral jusqu’à ce que l’indépendance sonne à la porte. Parce que, clairement, empêcher des gens de voter est toujours une super idée pour apaiser les tensions. Et devinez quoi ? Cela n’a pas vraiment fonctionné. Surprenant, n’est-ce pas ?
Un avenir suspendu : Nouveau référendum, nouveaux espoirs ?
Mais ne vous inquiétez pas, le gouvernement français a une solution qui pourrait être mise en place, hum, peut-être dans quelques décennies. En attendant, ils nous proposent un nouveau référendum. Encore un ! Parce que les trois derniers ont été si efficaces qu’on serait bêtes de ne pas remettre ça.
Et pour ajouter un peu de piquant à cette recette déjà bien épicée, on envisage de laisser une commission décider qui a le droit de voter. Oui, rien que ça. L’égalité et la liberté, ce sont des concepts tellement démodés, n’est-ce pas ?
Alors, chapeau bas à la Nouvelle-Calédonie, qui continue de jongler avec son statut comme avec des balles enflammées. Et un grand bravo à ceux qui ont pensé que reporter le problème à plus tard était une solution. Comme disait quelqu’un, un jour, quelque part : “Pourquoi faire aujourd’hui ce que tu peux encore reporter à demain ?” Ah, la magie du non-choix, c’est tellement… français.
Citation de Madame-Raleuse.com
En Nouvelle-Calédonie, l’indécision politique est la recette parfaite pour une explosion sociale.
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