Bienvenue à l’école de l’idéologie, où les parents sont priés de la fermer, les enfants d’absorber, et le Conseil d’État d’approuver. Car oui, vendredi 27 juin 2025, la plus haute juridiction administrative a décidé que le programme EVARS – Éducation à la Vie Affective, Relationnelle et Sexuelle – ne posait aucun problème. Circulez, y’a rien à voir… sauf un petit détail : les gosses. (source : France-Ouest)
« On ne vous demandera pas votre avis, merci de votre coopération forcée. »
Déjà en juin, lors de l’audience, le rapporteur public avait affiché un mépris d’une élégance toute technocratique. Mais vendredi, le mépris s’est transformé en jurisprudence. Le message est clair : les parents ? Accessoires. La neutralité ? Superflue. Le bon sens ? Obsolète.
Le programme EVARS sera le seul enseignement qui n’aura pas besoin d’être présenté lors de la réunion de rentrée. Vous avez raté une info ? Ce n’est pas une erreur, c’est une stratégie.
L’école : laboratoire social ou centre éducatif ?
Il paraît que l’EVARS veut lutter contre les violences sexuelles. Sauf que pour lutter efficacement, il faudrait déjà comprendre qu’un enfant ne donne pas un consentement éclairé comme il choisit une glace au chocolat.
Mais dans la version 2025 sauce UERSS, on préfère expliquer le plaisir avant l’interdit, faire l’impasse sur l’immaturité affective, et ignorer totalement le rôle fondamental des parents. En clair : on infantilise les adultes et on adultise les enfants. Brillant.
Neutralité ? Connait pas.
L’école devait être un sanctuaire du savoir. Elle est devenue une salle de conférence où les dogmes progressistes s’invitent sans badge. Le principe de neutralité ? Jeté à la poubelle avec la caution du Conseil d’État. Le Code de l’éducation, pourtant clair sur la participation des parents à la communauté éducative, est balayé comme un vulgaire cahier de vacances.
La prochaine étape ? Supprimer les parents du livret de famille
Pourquoi s’arrêter là ? Si les parents sont jugés inaptes à comprendre, décider, ou simplement être informés, autant leur retirer directement l’autorité parentale. C’est plus rapide, non ?
Car enfin, que vaut la primauté éducative des familles quand un programme national imposé, non débattu et non neutre s’installe en douce dans toutes les classes de France… pardon, du Frankistan ?
Et maintenant ?
Le recours a été rejeté. Mais la résistance, elle, ne baisse pas les bras. Car dans cette époque où la justice valide l’idéologie et sacrifie l’enfance sur l’autel du progressisme, il faut des voix qui râlent, qui grattent, qui dérangent.
Et vous, chers parents, serez-vous les prochains à être considérés comme de simples obstacles pédagogiques ?
Madame-Raleuse.com continuera de faire du bruit là où d’autres s’agenouillent devant les dogmes. L’école n’est pas un terrain d’expérimentation sociale. C’est le lieu où nos enfants méritent mieux que des cours d’endoctrinement déguisés.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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