Ne nous mentons pas : les réformes de l’Éducation nationale sont rarement des avancées spectaculaires. Mais celle-ci mérite qu’on s’y attarde. Ce 29 janvier 2025, le programme d’éducation à la vie sexuelle, affective et relationnelle (EVARS) a été validé par le Conseil Supérieur de l’Éducation, sous l’œil bienveillant de notre cheffe de classe, Élisabeth Borne.
Et, bonne nouvelle (ou pas), l’UNSA Éducation a donné son feu vert. (source : UNSA) Mais attention, hein, en “tenant bon” sur ses “lignes rouges”. Parce que si on n’a pas de grandes batailles à mener, autant s’inventer des micro-victoires sur des mots-clés progressistes.
Une réforme “idéale” pour une école en ruine ?
Vous pensiez naïvement que l’école française avait des priorités comme… je ne sais pas… apprendre à lire, écrire et compter ? Détrompez-vous ! Le grand chantier du moment, c’est de parler identité de genre et orientation sexuelle aux élèves.
Soyons clairs : le programme EVARS, ce n’est pas ce qu’il dit qui dérange, c’est ce qu’il représente. L’UNSA Éducation ne s’en cache même pas : il faut tenir bon face aux pressions idéologiques. Traduction : si vous n’êtes pas d’accord avec ce programme, vous êtes forcément un dangereux réac rétrograde qui veut renvoyer les femmes à la cuisine et les gays au placard.
Vous n’êtes pas convaincu ? Pas grave, l’Éducation nationale s’occupera de votre cerveau.
Trois grandes “victoires” de l’UNSA Éducation
🎭 Ne pas avoir peur des mots
L’UNSA a obtenu que des termes comme “identité de genre”, “homophobie”, “transphobie” ou “féminicide” restent dans le programme. Ouf ! L’école publique ne formera peut-être plus de bons élèves en maths, mais elle sera incollable sur les luttes intersectionnelles.
🎭 Imposer l’interdisciplinarité
Les enseignants, c’est bien. Mais les enseignants plus les travailleurs sociaux, c’est mieux. L’idée est simple : garantir une approche “globale” où tout le monde donne son avis sur votre enfant. Après tout, les parents ne sont que des électeurs à convaincre, pas des éducateurs légitimes.
🎭 Protéger les enseignants contre les vilains conservateurs
On ne va pas se mentir, ce programme provoque de la résistance. Mais pas de panique : le ministère s’engage à protéger les enseignants contre les contestations. Traduction : fermez-la, c’est pour votre bien.
EVARS : éducation ou rééducation ?
Ce programme n’a rien de nouveau. Il est dans la droite lignée du projet éducatif moderne : moins de savoirs fondamentaux, plus de discours idéologiques.
L’école ne forme plus des esprits, elle façonne des citoyens bien alignés sur la doxa officielle. Et si vous osez dire que ce n’est pas le rôle de l’Éducation nationale… c’est que vous êtes sûrement un ennemi du progrès.
Alors, chers parents, rangez vos inquiétudes ! Vos enfants n’auront peut-être pas leur bac, mais ils connaîtront par cœur la liste complète des orientations sexuelles possibles.
Et vous, êtes-vous un bon élève du programme EVARS ?
💬 Dites-nous en commentaire : Éducation bienveillante ou lavage de cerveau en bonne et due forme ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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