Victoire du PSG 5-0, Défaite de la France 0-5 : Quand les Champs-Élysées deviennent Beyrouth-sur-Seine

Et pendant que Désiré marquait, la France brûlait. Pas une métaphore. Pas un clip de Booba. Juste une soirée ordinaire dans le Frankistan de 2025.

La France a vibré hier soir devant une victoire éclatante du PSG : 5 buts, zéro suspense, et un Désiré Doué en pilotage automatique. De quoi faire frissonner le Parc des Princes… et enflammer littéralement les rues. Car pendant que le ballon roulait sur la pelouse, c’était l’anarchie qui roulait sur le périph’, et la République qui se faisait tordre le cou en direct.

Des scènes de guerre civile pour fêter un match ?

À Paris, le périphérique bloqué par des hordes de supporters surexcités, transformé en zone piétonne façon Gilets Jaunes sous acide. Pendant ce temps, les forces de l’ordre jouaient à cache-cache, probablement planquées derrière un distributeur automatique ou en pleine séance de méditation républicaine. Aucune présence policière signalée. La République, elle, a signalé son abandon.

Et puis, bien sûr, il y a ce pompier de la Brigade de Paris agressé au cœur même de la capitale. « Sauver ou périr », disait la devise. Hier soir, c’était clairement “sauve-toi si tu peux”.

Nantes, Toulouse, Marseille : tournée nationale du chaos

🔴 À Nantes, un bus Naolib a été saccagé à la minute près. Dix minutes de carnage avant une intervention policière – autant dire une éternité dans le langage des vitres explosées.

🔴 À Toulouse, même partition : vitrines brisées, mortiers, feux de joie improvisés. Il ne manquait que le DJ et les mojitos.

🔴 À Marseille, on célèbre toujours à coups de barres de fer, fidélité oblige.

Un supporter écrasé, une image de la France broyée

À Paris, un supporter a été écrasé entre deux voitures. Symbolique. Un peuple pris en étau entre l’indifférence politique et la barbarie urbaine.

Les médias, eux, oscillent entre euphémisme poétique et coma journalistique. BFMTV nous parle de “débordements festifs”. Nous, on parle de guerre civile à peine déguisée. Mais chut, pas de panique, tout va bien dans le meilleur des UERSS.

Macron, Darmanin, Borne : les pompiers-pyromanes

Les ministres vont s’émouvoir dans 48h, avec leur timing légendaire. Darmanin ressortira ses « unités de CRS mobiles », comme un enfant qui montre ses Playmobil. Borne nous dira qu’il faut « dialoguer avec les jeunes », et Macron… Macron sortira probablement un selfie avec Désiré Doué, pendant que la France part en flammes derrière lui.

Un match remporté. Un pays perdu.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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Un commentaire sur « Victoire du PSG 5-0, Défaite de la France 0-5 : Quand les Champs-Élysées deviennent Beyrouth-sur-Seine »

  1. Je n’aime pas les gens par ce qu’ils sont mais par ce qu’ils font de bien.
    Au lieu de nous aider à mourir en France, les politiques feraient mieux d’aider les français à vivre !

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