Pendant que l’UERSS s’épuise à réécrire des règlements en 84 langues pour interdire les pailles en plastique, Trump, lui, redessine la carte du monde avec un stylo, un coup de bluff, et un paquet de sanctions. Le tout en claquettes.
🎩 Il négocie avec la Russie, il piège la Chine, il fait du chantage élégant au Moyen-Orient, il force les multinationales à rentrer au bercail, et pendant ce temps-là, l’Europe regarde la partie comme un enfant qui découvre qu’il joue aux échecs avec des dominos.
Le style Trump : bluff, menace, accord. Et re-bluff derrière.
Alors que les éditorialistes européens font encore semblant de ne pas comprendre, Alain Juillet, ancien patron du renseignement français, nous déballe dans Openbox TV la vraie mécanique :
Trump ne gouverne pas, il négocie. Comme un marchand de tapis, sauf que le tapis, c’est Gaza. Et le prix, c’est l’équilibre mondial.
Prenez Gaza justement :
🔹 Trump propose une « Riviera à la place des ruines »
🔹 Le monde Arabe hurle
🔹 Puis accepte de financer lui-même la reconstruction
🔹 Et annonce au passage que le Hamas, c’est fini
Résultat : les États-Unis n’ont rien payé, Israël ne reconstruit rien, le monde arabe se ridiculise en jouant les promoteurs immobiliers, et Trump sourit en mode « deal done ».
Iran, Russie, Chine : la stratégie du chaos organisé
🧨 Avec l’Iran, Trump sort la méthode bulldozer : « Vous négociez ou je laisse Israël vous transformer en cendres ».
Résultat ? L’Iran, privé de ses proxies (Hezbollah démoli, Houthis réduits en miettes, Syrie exsangue), redevient subitement fréquentable.
🇷🇺 Avec la Russie ? Un bijou de géopolitique : Trump veut Poutine dans la poche américaine pour préparer l’affrontement avec la Chine.
Il est même prêt à lever les sanctions progressivement. Et si l’Europe râle ? Elle sera la dernière informée.
🇨🇳 Avec la Chine ? Il coupe les robinets. Il fait remonter les prix. Il force Apple à relocaliser.
Et devinez quoi ? Les patrons américains râlent, mais pas trop : « Si c’est pour sauver l’Amérique, ok boss. »
En deux ans, Trump pourrait faire plus pour l’industrie américaine que vingt ans de G20 et de Davos réunis.
Pendant ce temps-là… l’Europe trie encore les déchets numériques
En UERSS, pendant que Trump pose ses pions, on débat encore pour savoir si on doit interdire les barbecues au charbon dans les cantines scolaires.
🧾 Les lois prennent 2 ans à s’appliquer.
👥 On est 27 à devoir tomber d’accord.
📉 On ne vendra bientôt plus rien aux États-Unis (merci Airbus), et on s’apprête à se faire inonder par les produits chinois parce que, dixit Juillet, « en Europe, c’est open bar ».
Mais rassurez-vous, la Commission est très préoccupée par l’inclusivité des pictogrammes de sécurité routière. On est sauvés.
Une bascule historique : quand Trump joue au Monopoly, l’Europe joue à SimCity
Ce qu’Alain Juillet nous révèle, c’est une réalité que nos gouvernements font semblant d’ignorer :
le monde post-global est bilatéral, brutal et pragmatique.
Trump le sait.
Xi le sait.
Poutine le joue.
Et l’Europe… commente en tribune.
Pendant que la carte du monde se redessine entre deals de terres rares, relocalisations express et menaces militaires soft power, notre bon vieux continent s’enfonce dans ses procédures et continue à croire que les rapports d’Oxfam vont changer la face du monde.
Conclusion : Trump redéfinit les règles. L’Europe, elle, relit le manuel.
Quand Trump veut un accord, il propose l’inacceptable, fait paniquer tout le monde, et obtient le raisonnable.
Quand l’Europe veut un accord, elle convoque une conférence à Bruxelles, dans six mois, avec des traductions simultanées et un buffet bio.
Le résultat ? Le monde bascule. Et nous, on fait du PowerPoint.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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