Spoiler : Non, ce n’est pas un sketch des Inconnus. Juste une réunion de crise à Matignon.
C’est l’histoire d’un pays qui, en 2020, promettait : « Plus jamais ça ! » Et comme dans toute grande tragédie française, ce « jamais » s’est transformé en « encore pire ».
Nous sommes en 2025, et le stock stratégique de masques en France ressemble toujours à un épisode perdu de Fort Boyard : des cartons introuvables, des dates de péremption qui remontent à l’ère pré-Zemmour et des fonctionnaires qui se passent la patate chaude comme si c’était un virus… mais sans masque FFP2.
Stock stratégique de masques : mode d’emploi à la française
Chez nous, on ne gère pas un stock. On l’enterre. Sauf quand une inspection aléatoire tombe sur un hangar non répertorié qui déborde de masques en papier toilette, pardon, chirurgicaux, périmés depuis l’allocution de Castex.
Un audit vient de tomber : plusieurs millions de masques seraient inutilisables. Certains sont déchirés, d’autres moisis, quelques-uns hébergent désormais des colonies de bactéries plus actives que le ministère de la Santé lui-même.
La solution ? Bah… un comité Théodule.
Comme toujours, quand la France patauge, elle invente une nouvelle mission d’évaluation, avec un acronyme bien pompeux (genre COMESMAS – Comité pour l’Évaluation des Stocks de MASques). Le tout présidé par un énarque qui n’a jamais porté autre chose qu’un masque de ski.
On nous promet désormais un système de « rotation intelligente ». Ah bon ? En 2025, on découvre donc que les masques ont une date de péremption. Chapeau, les gars.
En Frankistan, mieux vaut prévenir que… prévenir
Ce qu’il y a de fascinant dans l’UERSS, c’est ce goût pour le recyclage administratif. Plutôt que de reconnaître qu’on est infoutu de gérer trois cartons, on relance une réforme. Objectif : un nouveau plan Pandémie 2030, avec stockage numérique des masques sur l’ordinateur de Véran.
Mais attention : les citoyens, eux, doivent toujours être prêts. À porter un masque moisi, à se taire, à payer et à applaudir quand on leur dit qu’il y a une « stratégie ».
Parce qu’en vérité, la seule chose stratégique dans ce pays, c’est le déni.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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