Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Scandale protocolaire : Macron marche devant le roi Charles… parce qu’il pensait que le roi, c’était lui

Décidément, quand Emmanuel Macron n’écrase pas les Français, il piétine le protocole royal britannique. Nouvelle démonstration de modestie présidentielle : il marche allègrement devant le roi Charles III. Il croyait que le roi… c’était le type avec le chapeau.

Le monde a retenu son souffle. Ou du moins, les Britanniques habitués au ballet bien huilé du protocole monarchique. En pleine visite officielle, Emmanuel Macron a cru bon de griller royalement la priorité au souverain du Royaume-Uni, le roi Charles III. Une scène aussi surréaliste qu’emblématique d’un président qui se prend plus souvent pour Jupiter que pour un chef d’État républicain.

« C’est moi le roi ici, non ? »

Sur la vidéo devenue virale, on voit un Macron sûr de lui, avancer d’un pas martial devant un Charles III relégué à l’arrière-plan, façon invité surprise d’une garden-party. Et pendant que la France retient un rire gêné, l’Élysée tente de noyer le poisson dans du thé.

Officieusement, on aurait pu croire entendu Macron murmurer à un conseiller :

« Je croyais que le roi, c’était celui avec le chapeau. »
Ou peut-être pensait-il que le véritable roi, c’était lui-même, naturellement. Après tout, avec un ego aussi bien taillé que ses costumes, rien ne distingue plus Macron d’une figure monarchique… à part l’amour du peuple.

Protocole piétiné, symboles brisés

En temps normal, on laisse passer le roi. C’est la règle, la tradition, la courtoisie. Mais chez Macron, le protocole, c’est bon pour les autres : les Français doivent respecter les 2 mètres de distance, la presse doit attendre ses bons vouloirs, et les rois ? Ils patientent derrière, en silence.

Le message est clair : même Charles III doit marcher derrière Jupiter Ier, souverain d’un royaume en crise mais toujours en représentation.

La France humiliée… encore ?

Ce n’est pas la première fois que notre président se distingue par son sens très personnel des rapports internationaux. De la claque reçue à Tain-l’Hermitage à la gifle protocolaire donnée à Londres, Macron n’a pas son pareil pour transformer une cérémonie officielle en comédie tragique. Un sketch permanent, sauf que c’est nous qui payons la mise en scène.

Pendant que l’Élysée gère la « tempête dans une tasse de thé », les réseaux sociaux, eux, s’en donnent à cœur joie. Les internautes britanniques sont consternés, les Français blasés. Et pendant ce temps, le roi Charles sourit poliment. On ne sait pas s’il est gêné… ou juste trop bien élevé pour répondre.

Macron ne marche pas devant les rois. Il marche sur les symboles. Et il ne s’excuse jamais, car dans son monde, le pouvoir ne connaît ni limite… ni priorité.

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