Dans un monde où l’on ne sait plus si un tank est genré, où les uniformes sont plus inclusifs que blindés, et où l’on confond virilité avec intolérance, le Pentagone vient de rappeler que l’armée n’est pas un laboratoire sociologique.
Et ça fait hurler, évidemment.
L’hormone ou la mitrailleuse, il fallait choisir
Ce lundi, le Pentagone a tranché : fin des opérations de transition de genre et des traitements hormonaux pour les militaires transgenres.
Fini les soins payés par le contribuable pour des transformations médicales internes, dans une institution censée défendre le pays, pas explorer l’identité.
Et derrière cette décision ? Un certain Donald Trump, qui en janvier a signé un décret pour bannir « l’idéologie transgenre » de l’armée. Pourquoi ?
Parce que selon lui, une armée doit tuer l’ennemi, pas questionner son genre.
🧠 Réfléchissons une seconde : et si… ce n’était pas du fascisme ?
On peut critiquer, on peut débattre. Mais il faut aussi ouvrir les yeux.
Une femme reste une femme, même si on l’appelle « Brian » en treillis. Et un homme, ce n’est pas un vagin sur ordonnance et une barbe au gel de testostérone.
Est-ce vraiment « haineux » de dire que l’armée a besoin de cohésion, de force, de discipline, pas de débats sur les pronoms dans les tranchées ?
Et si Trump ne faisait que remettre un peu d’ordre là où le chaos idéologique régnait ?
📉 L’opinion publique aussi commence à saturer
En 2019, 71 % des Américains soutenaient l’intégration des transgenres dans l’armée.
En 2024 ? Ils ne sont plus que 58 %.
La réalité s’impose : le wokisme n’est plus un courant d’idées, c’est devenu une injonction. Et quand l’armée devient un terrain d’expérimentation sociale, on finit par se demander si le prochain défilé sera militaire ou drag queen.
🎖️ Une armée, ce n’est pas une ONG identitaire
Les défenseurs du « tout inclusif » ont oublié une chose : le rôle de l’armée, c’est la guerre.
Pas de réparer les blessures de l’âme. Pas de corriger le sentiment d’aliénation. Et certainement pas de payer avec l’argent public des opérations chirurgicales au nom d’un bien-être personnel.
Un soldat trans peut être compétent, évidemment. Mais si l’institution devient otage des demandes individuelles, elle perd sa mission première : protéger le pays.
🧨 Madame-Raleuse s’interroge : remettre de l’ordre, est-ce devenu un crime idéologique ?
Et si interdire les soins de transition, c’était simplement refuser que l’armée devienne un espace de revendication identitaire permanent ?
Et si cette décision, loin d’être « excluante », était un rappel salutaire : l’uniforme n’a pas à porter les couleurs d’un débat sociétal ?
Peut-être que Sun Tzu avait raison après tout :
« La suprême excellence consiste à briser la résistance de l’ennemi sans combattre. »
Mais pour ça, encore faut-il savoir qui est l’ennemi.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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