Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Clara Chappaz, ministre du Numérique, utilise une voiture de la préfecture pour sortir en boîte à Aix-en-Provence

Pendant que vous galérez à faire un plein, Clara Chappaz, elle, se fait raccompagner de boîte de nuit en voiture préfectorale. Une ministre connectée… à vos impôts.

Décidément, la start-up nation ne dort jamais. Et surtout pas ses ministres. Clara Chappaz, nouvelle ministre déléguée chargée du Numérique, a visiblement trouvé un usage innovant à ses fonctions : transformer les services de l’État en Uber de luxe pour ses soirées arrosées à Aix-en-Provence.

Car oui, selon plusieurs sources concordantes, la jeune ministre a mobilisé toute une nuit un chauffeur de la préfecture pour une virée nocturne bien sentie, avec retour VIP inclus. On ne sait pas si la playlist était techno, mais ce qui est sûr, c’est que la République a payé l’aller-retour.

« Préfet by night » : nouvelle compétence du numérique ?

On croyait que le portefeuille du Numérique consistait à plancher sur l’intelligence artificielle, la souveraineté des données ou la cybersécurité… Mais non : il inclut désormais la logistique de sortie en boîte. À croire que les open bar seraient une nouvelle zone blanche à couvrir.

Pendant que les Français doivent justifier le moindre remboursement de transport, madame la ministre n’a aucun problème à mobiliser un agent public toute la nuit pour des motifs hautement prioritaires : danser jusqu’à 4h du mat’, probablement en réfléchissant à l’avenir du cloud.

L’État, ce bon vieux chauffeur

Il fut un temps où on appelait un taxi. Aujourd’hui, quand on est ministre, on appelle la préfecture. C’est plus pratique, plus classe, et surtout… gratos (sauf pour les contribuables, mais ils adorent payer pour ça, non ?).

Clara Chappaz, ancienne de la French Tech, nous montre que l’innovation, c’est aussi dans la gestion créative des ressources publiques. À quand la carte de fidélité pour les virées préfectorales ? Une virée = un badge de ministre validé ?

Et maintenant ? Rien.

Pas d’excuses. Pas de sanctions. Pas même un tweet embarrassé. C’est simple : tout le monde s’en fiche. La Cour des comptes a autre chose à faire. Les médias préfèrent commenter la météo. Et Clara Chappaz, elle, continue de faire la fête en paix.

Un ministre connecté à ses privilèges, une préfecture au service de la night, et un contribuable qui, comme toujours, règle l’addition. Vive la République. Et surtout… santé !

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