Historique, c’est le mot. La cour d’appel de Paris, dans un arrêt rendu ce 10 juillet 2025, a relaxé Natacha Rey, poursuivie pour diffamation par Brigitte et Jean-Michel Trogneux. Traduction ? Les accusations n’étaient pas si farfelues que ça. Et ceux qui criaient au complot vont peut-être devoir revoir leur copie… ou leur ligne de défense.
Mieux encore : cette décision pourrait bien ouvrir un tout nouveau chapitre. Et cette fois, ce ne sont plus les lanceurs d’alerte qui sont dans le viseur judiciaire.
Quand la justice fait machine arrière : une claque aux petits arrangements
Rappelons les faits : Natacha Rey avait osé remettre en cause l’identité réelle de Brigitte Macron, évoquant le rôle de Jean-Michel Trogneux, le frère mystérieusement discret. Elle avait été poursuivie, médiatiquement vilipendée, traînée dans la boue comme on jette un chiffon sale dans un plateau télé.
Mais voilà : la cour d’appel a tranché en sa faveur. Ni diffamation, ni mensonge, ni manipulation. Juste une enquêtrice autodidacte… visiblement un peu trop précise pour que la 17e chambre en reste là.
François Dangléhant, un avocat au front, une voix libre et déterminée
Dans une allocution digne des grands moments de plaidoirie, Maître François Dangléhant n’a pas mâché ses mots. S’adressant aux Français « libres », il salue non seulement la relaxe de sa cliente, mais aussi la victoire de la vérité sur l’appareil politico-judiciaire infiltré, selon lui, par une caste républicaine opaque.
Et cette victoire, il ne la réduit pas à une ligne de jurisprudence. Il y voit un acte fondateur, une réparation symbolique pour tous ceux que l’on tente de faire taire. Un acte de résistance citoyenne, que l’on soit d’accord ou non avec les thèses de départ.
Escroquerie au jugement ? L’heure des comptes pourrait sonner
La suite s’annonce musclée. François Dangléhant évoque une possible citation directe contre Brigitte et Jean-Michel Trogneux pour escroquerie au jugement en bande organisée. Le ton est posé, les bases sont juridiques, la cible est claire.
Plus encore : l’avocat propose même une transaction amiable, comme une dernière chance d’éteindre l’incendie. Mais si la porte est entrouverte, le bras de fer, lui, semble bel et bien engagé.
Une affaire personnelle… et une dimension internationale
Ce combat dépasse de loin la simple opposition entre Natacha Rey et les Trogneux. Maître Dangléhant rappelle que son propre fils, Louis, 4 ans, est retenu dans une “séquestration institutionnelle”, depuis avril 2023. Un fait qu’il dénonce haut et fort, documents à l’appui, dans le sillage d’une oppression systémique qu’il dit orchestrée par les « francards républicains ».
Et comme souvent, les voix qui dérangent s’unissent : Candace Owens, figure de la droite américaine, a déjà dénoncé cette situation en janvier 2025. Preuve que l’affaire Rey ne se joue plus seulement dans les couloirs d’un tribunal parisien, mais sur la scène médiatico-politique internationale.
Une campagne présidentielle en vue ?
Les comités de soutien se multiplient dans les provinces. Certains appellent déjà Natacha Rey à se porter candidate à l’élection présidentielle. Un scénario qui, hier encore, aurait fait rire les éditorialistes. Aujourd’hui, plus personne n’ose en rire, tant la défiance envers les institutions grandit.
Madame-Raleuse résume :
La relaxe de Natacha Rey est bien plus qu’un jugement : c’est un tremblement de terre juridique, médiatique et politique. Une démonstration que la parole libre, même dérangeante, peut gagner face aux silences organisés.
Quant à l’avocat François Dangléhant, il ne fait pas que défendre une cliente : il incarne une résistance intellectuelle, audacieuse, parfois dérangeante, mais profondément attachée à la vérité et aux droits fondamentaux.
L’affaire Trogneux n’est pas close. Elle ne fait que commencer.