Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Un quart des Français vivent dans un logement « trop grand » : l’INSEE découvre qu’on vieillit, qu’on a eu des enfants, et que la Bretagne est pleine de coupables

Ah, les méchants propriétaires ! Ceux qui osent respirer dans plus de 20 m² par personne. L’INSEE nous l’annonce, toute honte bue : un quart des ménages vivent dans des logements trop grands par rapport à leurs besoins. (source : BFMTV) Voilà, c’est dit. Vous avez osé garder la chambre de votre fils après son départ à la fac ? Crime contre la densité. Vous avez plus de trois pièces de plus que nécessaire ? Signez ici, vous êtes la cause de la crise du logement, de la chaleur de l’été, et probablement de la disparition des pandas.

La nouvelle chasse aux sorcières : les retraités en maison individuelle

On vous prévient, si vous êtes âgé, propriétaire, et que vous vivez dans une maison de plus de 100 m², l’INSEE vous a dans le viseur. Pire : si vous avez eu des enfants (scandale !) et que vous avez eu l’audace de ne pas vendre dès leur départ pour aller vous entasser dans un studio à Béthune, c’est que vous êtes un égoïste notoire.

« Ces logements sont trop grands pour les besoins théoriques des ménages », nous disent les experts de l’occupation idéale.

Ah, les fameux « besoins théoriques », ces unités de mesure élaborées dans des bureaux sans fenêtres, par des statisticiens qui n’ont jamais passé un Noël dans une maison où les petits-enfants peuvent courir sans renverser la télé.

Et devinez qui trinque ? La Bretagne

Oui, la Bretagne, ce territoire jadis paisible peuplé de galettes, de granit et de gens qui vivent chez eux. Elle est désormais la championne nationale de la sous-occupation. Une honte, on vous dit. Parce que dans ce pays, il vaut mieux être trois familles dans un T2 à Montreuil que deux retraités dans une longère à Quimper.

L’Insee découvre : les gens qui achètent un jour finissent par vieillir

Grande révélation de l’étude : les logements deviennent « trop grands » avec le temps. Il paraît que les enfants quittent le nid. Il paraît aussi que les maisons ne rapetissent pas en même temps que la taille des foyers. Étrange, non ? Bientôt on nous expliquera que ceux qui ont acheté il y a 20 ans ont remboursé leur crédit. Quel toupet.

Les locataires hors de cause (évidemment)

Évidemment, les appartements en location ne sont quasiment jamais sous-occupés. Pourquoi ? Parce qu’avec des loyers à 900 € les 30 m² et un congé pour vente tous les deux ans, difficile d’avoir « trop d’espace ». Merci qui ? Merci le marché.

À quand une taxe sur les mètres carrés inutilisés ?

Soyons honnêtes, on la sent venir. Une taxe sur les pièces « inutilisées ». Une incitation au déménagement express à 78 ans. Un droit au squat solidaire ? Ou peut-être un simulateur de culpabilité à base de Nutri-Score version logement : « Alerte ! Votre salon de 32 m² nuit à l’équilibre national ! »

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