Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Jours fériés : la volte-face d’Emmanuel Macron ou l’art de cracher en l’air pour mieux le boire cinq ans plus tard

“Je ne suis pas favorable à cette méthode” disait-il en 2019. Mais ça, c’était avant. Avant qu’il découvre qu’un lundi férié valait 2 milliards d’euros et une bonne diversion.

En politique, on appelle ça une « volte-face ». Mais entre nous, quand Macron fait une pirouette, ce n’est pas juste un demi-tour : c’est une chorégraphie complète de danse contemporaine, avec saut de carpe et costume d’hypocrisie intégrale.

En 2019, sur les dorures de l’Élysée, le président Emmanuel Macron s’indignait à l’idée qu’on puisse toucher aux jours fériés. Trop “complexe”, trop “confus”, trop “injuste” pour les entreprises et les citoyens. Il ajoutait même, dans une envolée très Jupiterienne :

“Si on pouvait s’économiser le débat de savoir quel jour férié on choisit, ce serait formidable.”

Mais ça, c’était avant la réforme de rigueur sauce Bayrou, qui, comme par miracle, ressuscite une idée que le même Macron avait jugée aussi idiote qu’un slip mouillé sur la tête.

Quand Bayrou ressuscite les vieilles idées mortes et que Macron applaudit en coin

François Bayrou, notre moine budgétaire en robe de bure Renaissance, arrive donc avec sa torche et sa calculette :
➡️ “Et si on supprimait le 8 mai et le lundi de Pâques pour redresser la France ?”

Et Macron ? Il fait quoi ? Il proteste ? Il hurle à la trahison de ses convictions ?
Non. Il laisse faire, les bras croisés et le sourire en coin.
Comme un parrain qui regarde son soldat exécuter la sale besogne pendant qu’il garde les mains propres.

La vraie question : où est passé le Macron de 2019 ?

C’est qu’en 2019, on était encore dans la posture du “président proche du peuple”, celui qui “ne veut pas complexifier la vie des Français”.
Mais en 2025, le peuple, ça commence à saouler, alors on racle les fonds de tiroir, y compris les jours fériés. Et peu importe la cohérence : l’essentiel, c’est de gratter des milliards sans jamais toucher aux vrais problèmes — genre la gabegie de l’État, les agences inutiles ou les privilèges des anciens Premiers ministres à vie.

Ce n’est pas une volte-face, c’est un triple salto arrière avec atterrissage sur les principes

C’est donc ça, le sens de la continuité sous la Macronie : faire exactement l’inverse de ce qu’on disait ne jamais vouloir faire, tout en gardant l’air convaincu que c’est la seule voie possible. Et si tu rappelles ses propres paroles ?
On te répondra que “la situation a changé”, ou que “le contexte n’est plus le même”. Mais rassure-toi : ton lundi de Pâques, lui, il va bien sauté.

2 commentaires sur « Jours fériés : la volte-face d’Emmanuel Macron ou l’art de cracher en l’air pour mieux le boire cinq ans plus tard »

  1. Est-ce qu’il y a encore un âne pour seulement envisager de croire à ce que débite macron et n’importe quel politicien ? Si oui je lui conseille de lire, au plus vite, « Pilleurs d’Etat  » de Philippe Pascot. Mais attention, les révélations du bouquin pourraient le pousser au suicide, non provoqué !

  2. Il me semble que c’est également en 2019 qu’il disait qu’on ne pouvait pas repousser l’âge de départ à la retraite avant d’avoir réglé le problème du chômage

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