⚠️ Breaking news républicaine : Élisabeth Borne vapote en pleine conférence de presse. Tranquille. Relax.
Pendant que François Bayrou tente de nous expliquer comment sauver la France, comme a son habitiude, notre ex-Première ministre dégaine sa cigarette électronique au beau milieu de la salle comme si elle était chez Mamie le dimanche.
Mais attention : vous, citoyens lambda, c’est 135€ d’amende si vous sortez une clope sur la plage ou dans un parc.
Fin de la blague.
Deux poids, deux vapos
C’est ce qu’on appelle le vapotage de classe.
- Si toi, tu t’allumes une e-cig à la sortie de la crèche : « Monsieur, c’est interdit ici, vous nuisez aux autres. »
- Si t’es Borne, en conférence de presse officielle, sous les projecteurs : « Oh mais c’est Élisabeth, elle fait ce qu’elle veut, la pauvre, elle a du stress à évacuer… »
Rappel utile : le décret n°2016-1117 interdit formellement l’usage de la cigarette électronique dans les lieux de travail, d’enseignement, et les transports collectifs. Mais bon, on imagine que l’article 1er de l’Immunité Morale d’État stipule que « les lois sont valables sauf pour ceux qui les écrivent ».
Le geste qui en dit long
Elle n’a pas dit un mot, elle a juste soufflé un petit nuage. Et c’est tout un symbole qui s’est envolé avec.
Un symbole de déconnexion totale, de mépris tranquille, de « je suis au-dessus du règlement que j’ai pondu ».
Pendant qu’on vous gave de campagnes anti-tabac, de zones sans fumée, de slogans culpabilisants, la haute sphère politique, elle, vapote la démocratie en roue libre.
Liberté, inégalité, fumisterie
On nous avait promis une République exemplaire. On a hérité d’une comédie fumeuse.
En fait, Borne ne vapotait pas… elle soufflait juste sur les dernières braises de la crédibilité politique française.