Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Macron en redingote au dîner avec le maire de Londres : quand Jupiter se prend pour un roi… dans un royaume qui en a déjà un

Il est arrivé droit comme un I, menton relevé, regard conquérant. Emmanuel Macron, au dîner de la City, n’a pas simplement représenté la France… il a incarné Louis XIV qui aurait découvert le protocole britannique après deux verres de Bordeaux.

La scène est digne d’un film de Wes Anderson :
Une haie d’honneur de soldats en uniforme, le silence solennel, et au centre de l’image, un Macron en redingote noire et écharpe rouge, l’allure impériale et le brushing résistant au Brexit.
Un détail manque cependant : la couronne. Mais ça, c’est sans doute pour la prochaine réforme constitutionnelle.

De président à personnage d’opéra

La vidéo diffusée par BFM TV aurait pu être titrée : “Quand Emmanuel Ier découvre l’armée britannique”. Le pas lent, le regard fixé sur l’horizon — ou sur sa propre importance —, il traverse le tapis rouge comme s’il était né pour ça. Oubliée la République. Place au théâtre monarchique version Macron.

Et les soldats, eux ? Impeccables, alignés, figés. À se demander s’ils ne regardaient pas passer un monarque en exil… ou un figurant égaré d’un téléfilm historique sur Napoléon III.

La City l’invite, Macron s’intronise

Ce dîner était censé renforcer les liens entre la France et le Royaume-Uni. Mission accomplie : Macron s’est fondu dans le décor royaliste sans le moindre effort, au point de faire de l’ombre au roi Charles lui-même.

Certainement certains diplomates discrets murmurent que, s’il avait pu, il aurait renversé la monarchie pour la remplacer par sa start-up nation en cravate blanche.

La République en représentation permanente

Macron est venu avec un message ? Oui. Mais le message, c’était lui. Toujours lui. Son style, sa prestance, son théâtre. L’image compte plus que les mots, et le brushing plus que les traités.

Macron n’a pas besoin d’un trône. Il a déjà la posture.
Et pendant qu’il parade en redingote au banquet de la City, les Français regardent l’addition. C’est la diplomatie à la française : on brille à l’étranger, on brûle à l’intérieur.

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