Drogue, cash et euro numérique : quand Darmanin vous vend la fin des trafics… en supprimant votre liberté de payer

« Vous voulez arrêter la drogue ? Supprimez l’argent liquide. »


C’est la nouvelle punchline de Gérald « Zéro Blé, Zéro Problème » Darmanin, qui semble désormais confondre un billet de banque avec un sachet de cocaïne. Et pendant qu’il vous explique calmement que c’est votre monnaie qui fait tourner les réseaux, Christine Lagarde, en bonne techno-gouvernante européenne, prépare le clou du spectacle : l’euro numérique. Un petit clic pour l’homme, un grand pas vers la surveillance totale.

Drogue dure : la démocratie numérique

Ah, le raisonnement magique… Plus de cash = plus de trafic. À ce rythme, on va interdire les valises pour empêcher la fraude fiscale, et les téléphones pour éviter les arnaques à la carte vitale.

Car bien sûr, dans l’univers enchanté de Darmanin, les trafiquants n’utiliseront jamais de crypto, ni de sociétés écran, ni de mules bancaires. Non, non. Ce sont les petits billets de 10€ que votre grand-mère cache dans son pot à sucre qui font trembler la République. L’argent liquide ? Une menace nationale. Le nouveau terrorisme domestique.

Le plus savoureux ? Ce sont les mêmes qui se plaignent du « sentiment d’insécurité » et de la perte de lien social… qui veulent supprimer le dernier geste de solidarité interhumaine non traçable : le billet glissé discrètement dans une main.

Euro numérique : Lagarde vous veut du bien (de force)

Christine Lagarde, elle, ne vous impose rien, voyons. Elle vous « éduque ». Car évidemment, si vous êtes contre l’euro numérique, c’est que vous êtes mal informé. Ou pire : réactionnaire. Le projet de l’euro numérique ne se discute pas, il s’apprend. Comme un bon catéchisme.

D’ailleurs, elle l’a dit : « L’euro numérique sera d’abord volontaire… puis nécessaire.« 
Traduction : au début tu choisiras, à la fin tu obéiras.

Le pire ? Ce n’est même plus caché. Dans une démocratie digne de ce nom, on demanderait au peuple ce qu’il en pense. Dans l’UERSS ? On l’instruit. À coups de pédagogie autoritaire et de fausses consultations.

Le dealer c’est toi (si tu payes en liquide)

Dans le monde merveilleux de Darmanin, payer en liquide vous range désormais du côté des voyous. Acheter une baguette avec un billet de 5 euros ? Suspect. Donner de l’argent à son enfant ? Complice. Acheter un objet à une brocante ? Recel. Et retirer 200€ en espèces à la banque ? Tentative de blanchiment.

Mais rassurez-vous : les vrais trafiquants continueront, eux, à s’adapter. Parce que les cartels n’ont pas besoin de retirer 20€ au distributeur. Ils ont des mules, des bots, des sociétés offshores, des monnaies alternatives et surtout… des politiques qui les ignorent royalement.

En revanche, vous, petit citoyen sans histoire, vous allez découvrir le frisson du contrôle permanent : plafonds de retrait, justificatifs de paiement, blocages préventifs, et l’appli magique de l’euro numérique qui vous dira ce que vous pouvez acheter… ou pas.

Bienvenue dans l’Europe des paiements sous condition

L’objectif est clair : un monde sans cash, sans vie privée et sans échappatoire. Un monde où le moindre euro dépensé est vu, analysé, noté. Et demain ? Une éco-contribution automatique sur vos achats de viande, une taxe verte sur vos kilomètres parcourus, et pourquoi pas une suspension de vos dépenses si vous dépassez votre quota carbone ?

Ce n’est plus un scénario de Black Mirror, c’est le brouillon de la prochaine directive européenne.

Alors, quand Darmanin vous parle de drogue, souvenez-vous que le produit le plus addictif pour les États, ce n’est pas la cocaïne : c’est le contrôle.

——————————–

Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

——————————–

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*