Un président, une claque, une excuse bidon, et une nation qui regarde ailleurs. Bienvenue en Frankistan.
Vous l’avez peut-être raté. Ou alors vous avez eu le malheur de le voir.
La scène se déroule à Hanoï. Le président français descend d’un avion, tout sourire. Mais avant même d’avoir pu saluer la foule, PAF, il se prend ce qui ressemble fort à une double poussette faciale… signée Brigitte Macron. Deux bras, bien alignés. Et pas une caresse présidentielle.
Scandale ? Maladresse ? Moment de complicité, selon l’Élysée. Oui, comme une patate dans la tronche pour dire je t’aime.
Macron giflé, Élysée paniqué, Russie accusée
Mais la suite, c’est de l’or en barre. L’Élysée, pris de panique, balance sa première explication : « C’est un deepfake russe. »
Rappelons-le : Emmanuel Macron, président en exercice, se fait bousculer en public par sa femme… et le palais présidentiel, dans un éclair de génie stratégique, choisit de blâmer Vladimir Poutine. La prochaine fois qu’il pleut à Paris, on saura à qui s’adresser.
Évidemment, tout le monde rit. Même CNN peine à suivre. Même CBS Morning se moque. Même Candace Owens, depuis son canapé, s’érige en lanceuse d’alerte de la gifle géopolitique.
Complicité conjugale ou kabuki médiatique ?
La version officielle devient alors : « C’était une blague entre amoureux. »
Ah, l’amour. Ce subtil mélange de tendresse, d’humour… et de violences conjugales à 10 000 mètres d’altitude.
Candace Owens, elle, démonte la scène image par image. Analyse posturale, zooms sur les poignets, lecture du regard paniqué d’un président qui se demande si son slip va tenir jusqu’à la conférence de presse.
Et elle le dit cash : « Macron a le regard d’un enfant qui vient de se faire gronder au Disney Store. »
Becoming Brigitte : Netflix, sors le pop-corn
Car tout ça ne sort pas de nulle part. C’est le climax d’un feuilleton étrange, déjà largement abordé dans la série Becoming Brigitte, co-écrite par Xavier Poussard et Candace Owens. Une série qui questionne la genèse dérangeante de cette relation, les incohérences médiatiques, les dénis d’âge et les non-dits d’État.
Ajoutez à cela un procès contre Natacha Rey, des avocats qui « croient » sans être sûrs de qui ils poursuivent, et une presse qui fait semblant de ne rien voir… et vous obtenez une Vème République digne d’un théâtre de Guignol.
Mais au fond… qui a vraiment le pouvoir ?
Candace Owens conclut : « Macron n’a jamais dirigé la France. C’est Brigitte qui l’a préparé. »
Alors, qui dirige la France ? Un président sous influence ? Un couple à la dérive ? Une agence de com’ recrutée sur Wish ?
Une chose est sûre : la claque, elle, était bien réelle. Et cette fois, on ne pourra pas l’effacer sous le tapis républicain.
Un cafard peut survivre à une guerre nucléaire, mais meurt s’il est frappé par un journal. Voyons à quel point les médias sont dangereux!