Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Paris : capitale de la queue… pour nager dans la merde et lécher des bites sucrées

Madame-Raleuse.com – Où chaque file d’attente est une expérience culturelle.

Ah, Paris ! Ville lumière, capitale du romantisme, et temple du snobisme en file indienne.
Ici, plus c’est absurde, plus on fait la queue. Une piscine dans la Seine ? 4h de queue. Une gaufre en forme de pénis qui dégouline de crème vendus au prix d’un foie gras ? Et le Parisien applaudit, Instagramme, et en redemande.

Plonger dans la Seine… ou dans l’absurde

Oui, ils l’ont fait. À défaut d’avoir réglé la pauvreté ou les loyers indécents, Paris a « nettoyé » la Seine pour y faire trempette. Une eau auparavant jugée « non potable même pour les pigeons », maintenant vendue comme un miracle écologique. Résultat ? Des nageurs alignés comme des morues en sac plastique, prêts à choper une amibe rare pour la gloire d’un selfie.

La gaufre phallique, best-seller de la décadence sucrée

Ensuite vient l’œuvre d’art gustative : la fameuse gaufre-bite, dégoulinante de chocolat blanc façon… éruption symbolique. Une file de plusieurs heures pour… sucer un symbole patriarcal frit. Le féminisme attendra, on est là pour rigoler, non ?
Et pendant ce temps-là, les boulangers traditionnels ferment, mais une gaufre à 9€ en forme de zboub cartonne. Vive la culture.

Et si faire la queue était devenu la nouvelle religion ?

À Paris, l’expérience compte plus que le contenu. On se rue sur ce qui buzz, pas ce qui a du sens. Quitte à ramer deux heures dans un courant d’égout réhabilité, sucer des pâtisseries obscènes ou manger des céréales dans des bols vintage à 18 balles.
Paris ne pense plus, Paris performe. Et dans cette performance, la queue devient le rite d’appartenance.

Conclusion

On aurait pu rêver d’une ville où les gens font la queue pour voter, pour des logements décents, ou pour aider les sans-abris.
Mais non.
Ici, on fait la queue pour nager dans la merde et sucer des gaufres honteuses
C’est ça, le génie parisien : transformer l’absurde en tendance.

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