Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Budget 2026 : « L’année blanche », deux jours fériés envolés et une cure d’austérité pour les gueux. Champagne pour les autres !

Le 14 juillet, on a des feux d’artifice. Le 15, on a Bayrou.
Et autant vous dire que le second fait bien plus de dégâts.

François Bayrou, notre Haut-Commissaire au bon sens fictif, s’est pointé devant les micros avec le sourire satisfait de celui qui vient d’enfoncer un pays dans une baignoire glacée… en vous disant que c’est bon pour la circulation sanguine.

L’année blanche : une idée lumineuse… pour ceux qui n’ont besoin de rien

Vous pensiez que 2025 allait être difficile ? Attendez de découvrir l’année blanche.
Traduction pour le citoyen lambda : aucune revalorisation automatique des retraites, allocations ou barèmes fiscaux.
Donc pendant que les prix montent, vous, vous stagnez, mais avec dignité.

Ah, cette douce sensation d’être appauvri légalement, mais sans plainte possible.
C’est comme un hold-up, mais en costume-cravate et avec conférence de presse.

Deux jours fériés supprimés : un miracle pour l’économie ! (Ou pas.)

Le lundi de Pâques et le 8 mai passent à la trappe.
Pourquoi ? Parce que selon Bayrou, bosser deux jours de plus résoudra un problème de 43,8 milliards d’euros.

Mais attention : ce ne sera pas les députés, pas les sénateurs, pas les cabinets ministériels qui bosseront ces jours-là.
Non, ce sera vous, travailleurs de l’ombre, qui en chiez déjà 7j/7 en souriant à la caisse d’un supermarché ou dans le froid d’un chantier.
Mais pensez à la patrie, hein ?

Moins de fonctionnaires ? Génial, on va crever plus vite à l’hôpital

Bayrou annonce aussi que 1 fonctionnaire sur 3 partant à la retraite ne sera pas remplacé.
Formidable.

  • Moins d’enseignants ? Bah, vos gosses apprendront l’orthographe sur TikTok.
  • Moins de soignants ? Ce n’est pas comme si on vieillissait, hein.
  • Moins d’agents des impôts ? Ah non, pas eux. Eux, on recrute, on traque, on racle. On ne rigole pas avec l’argent des pauvres.

Une contribution de solidarité pour les riches ? Ouh là, tout doux…

Bayrou a glissé un petit « effort exceptionnel demandé aux plus aisés ».
Alors là, attention. Pas une taxe. Non non. Une « contribution solidaire ».
Genre : “Tu es milliardaire ? Tu pourrais, si tu veux, participer. Merci d’avance, bisous.”

On est rassurés. Les yachts sont saufs.

L’ennemi, c’est vous : les niches, les tricheurs, les assistés (mais pas ceux que vous croyez)

La fraude fiscale ? Oui, on va regarder ça. Peut-être. À l’automne.
Mais en attendant, on va taper là où c’est facile :

  • Le gars qui a une prime d’activité et une voiture trop récente.
  • La maman solo qui oublie de déclarer 12 euros d’aides de la CAF.
  • L’étudiant qui a coché la mauvaise case sur Parcoursup.

Parce que ce sont eux, vraiment, les piliers de la dette publique.

Mais la défense, elle, ça va. Elle a sa petite prime.

Pas de coupe dans l’armée. Non non.
+6,5 milliards pour les tanks, les missiles et les petits joujoux d’Emmanuel.
Faut bien qu’on soit prêts à défendre la patrie… contre les chômeurs et les retraités, visiblement.

Et le timing ? Parfait : tout le monde est en vacances

Bayrou balance tout ça le lendemain du 14 juillet, pendant que les députés font bronzette, que les syndicats roupillent, et que le peuple regarde les baigneurs dans la Seine.
L’art de passer un plan d’austérité en scred pendant que vous digérez votre saucisse.

En conclusion ?

Ce n’est pas un plan d’économie. C’est un menu de punition.
On vous supprime des jours de repos, on vous gèle les revenus, on vous fait bosser plus, et on vous remercie de la part de la dette publique.

Pendant ce temps, les ministères commandent des fauteuils design à 2 500 €, des missions d’étude sur l’inclusivité des porte-manteaux et des séminaires de « résilience fiscale collaborative ».

La France, ce pays merveilleux où l’on demande aux gens qui n’ont rien… de tout donner.

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