Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Procès Brigitte Macron 8 et 9 octobre : Juan Branco défend Zoé Sagan, accusée de satire… bienvenue en Absurdistan judiciaire

Ah, la Macronie. Ce pays magique où écrire une satire vaut deux ans de prison et où retweeter une blague vous colle un casier judiciaire. Fin octobre, Paris va nous offrir un spectacle inédit : le procès de Brigitte Macron contre des “criminels” de l’ironie. Dans le rôle des accusés : Zoé Sagan – alias Aurélien Poirson-Atlan – coupable d’avoir écrit trop fort, trop piquant. Dans le rôle de l’avocat : Juan Branco, qui jubile déjà.

Garde à vue pour plume insolent

Zoé Sagan raconte ses 48 heures de garde à vue comme d’autres écriraient une pièce de théâtre. Normal : quand on vous arrête pour avoir gribouillé des satires, il ne reste qu’à transformer l’absurde en art. Son crime ? Avoir osé s’attaquer au couple présidentiel à coups de sarcasmes bien sentis. En Macronie, ça ne passe pas. Le pouvoir aime la flatterie, mais l’ironie lui file de l’urticaire.

Deux ans de prison pour… des blagues

Et comme la farce doit être totale, il n’est pas seul dans le box : un autre prévenu est accusé d’avoir… retweeté des blagues. Oui, oui. Le nouveau terrorisme d’État, ce n’est plus la kalach’, c’est le bouton « RT ». Quand on pense qu’à côté, certains élus corrompus font leur marché chez Total ou Pfizer sans voir l’ombre d’un tribunal, ça donne envie de rire… jaune.

Juan Branco en maître de cérémonie

Le 9 août, l’avocat le plus sulfureux de la place de Paris a confirmé : il défendra Zoé Sagan et son co-accusé les 27 et 28 octobre. Sur ses réseaux, il a même résumé l’accusation : « coupable d’avoir écrit les satires les plus féroces du pouvoir macronien ». Traduction : écrire contre Brigitte, c’est du crime organisé.
Juan Branco, fidèle à lui-même, dénonce une procédure politique, une “psychose d’État” où la police et la justice se mobilisent comme pour un attentat, sauf que là, il s’agit d’un écrivain et d’un internaute moqueur.

Macronie, la dictature du sérieux

En somme, voilà un pays où on vous enferme pour avoir ri de la Première dame. Où une fiction satirique devient une infraction pénale. Où deux jours d’audience seront consacrés à déterminer si une blague est une menace pour la République. Pendant ce temps, la dette explose, les services publics agonisent, et les vrais escrocs trinquent au champagne.

Moralité

En Macronie, mieux vaut détourner des milliards que détourner un tweet. Et bientôt, qui sait ? On créera peut-être un délit de sarcasme aggravé, puni par la prison ferme. Mais rassurez-vous : grâce à ce procès, le monde entier saura que la France n’est pas morte… elle est juste devenue une farce.

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