Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Quand Bruxelles facture la décroissance : la France paye 29 milliards pour sa propre réindustrialisation, en augmentation de 24% (si, si)

Ah, l’Europe. Ce doux projet de solidarité où chacun participe selon ses moyens… et où la France, elle, participe surtout selon ceux des autres.
D’après le rapport du Sénat, notre contribution à l’Union européenne explose de 24 % en un an, soit près de 29 milliards d’euros envolés, direction Bruxelles. Oui, 29 milliards, pendant que le gouvernement promet, la main sur le cœur et la calculatrice déchargée, de “réduire les dépenses publiques”.

Mais attention, on ne parle pas ici de dépenses inutiles, non. Ces milliards iront nourrir le Fonds pour une transition juste, censé financer la réindustrialisation verte. Traduction : on va dépenser de l’argent pour fermer des usines polluantes, pendant qu’on subventionne d’autres pays européens pour les rouvrir plus propres. C’est ça, l’économie circulaire version UE : on ferme chez nous, on rouvre ailleurs, et on paye deux fois.

Perversité, vous avez dit perversité ?

Comme le souligne le rapport parlementaire, Bruxelles nous demande de dépenser moins, tout en nous obligeant à lui verser plus. Une sorte de “régime fiscal intermittent” : on serre la ceinture à Paris, mais on file la boucle d’or à Bruxelles.
Et dans tout ça, nos filières industrielles – automobile, chimie, sidérurgie – se vident à vitesse grand V. Mais rassurez-vous, on célèbre toujours la “réindustrialisation française”. Une réindustrialisation tellement verte qu’elle a tourné au camouflage militaire : on ne voit plus rien.

En résumé

  • +24 % de contribution européenne ;
  • -100 % de cohérence budgétaire ;
  • et 1,5 milliard pour un “Fonds pour une transition juste”… injuste pour ceux qui bossent encore.

L’Union européenne, c’est un peu comme ce collègue toxique qui te pique ton café, t’engueule parce que t’en rachètes pas assez, et t’envoie la facture pour l’électricité de la machine.

Bref : on finance notre propre décroissance au nom de la transition juste. C’est beau, c’est vert, c’est Bruxelles.

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