Un couple change le prénom de Brigitte Macron en Jean-Michel dans le registre des impôts et est relaxé !

Breaking News : un couple facétieux bidouille les fichiers de Bercy et transforme Brigitte en Jean-Michel Trogneux… (source : La Provence) et le tribunal trouve ça presque normal ! Une simple « malfaçon informatique », vous comprenez ?

Bug ou pirouette judiciaire ?

Un petit couple de Haute-Corse, sûrement en quête de fun fiscal, a eu l’idée géniale de remplir sa déclaration d’impôts avec tous les ministres et députés en « personnes invalides à charge », histoire de voir jusqu’où pouvait aller l’absurde. Mais le clou du spectacle, c’est cette mention légendaire :

👉 « Jean-Michel, dit Brigitte » Macron

Et là, stupeur ! Le système informatique de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) a pris la blague au pied de la lettre et a mis à jour le prénom de la Première Dame.

😂 Brigitte devenue Jean-Michel en une fraction de seconde. Merci Bercy et son logiciel digne d’un club d’informatique des années 90 !

Une attaque contre l’honneur… mais pas contre l’identité

Bien sûr, Brigitte Macron n’a pas franchement ri. Ni son service de communication. Plainte déposée en septembre 2024, procès en février 2025, et verdict délirant :

💼 Le tribunal reconnaît que ça porte atteinte à l’honneur de la Première Dame… mais pas à son identité.

Traduction : vous pouvez attribuer un prénom masculin à la femme du Président, tant que vous ne piratez pas son compte perso, tout va bien. C’est rassurant.

Un procès absurde pour une justice désorientée

Le parquet avait pourtant demandé trois mois de prison avec sursis pour les prévenus. Mais les juges ont estimé que c’était juste une blague rendue possible par un bug du système.

🔹 Pas de cyberattaque.
🔹 Pas d’intention de nuire.
🔹 Juste une farce et une faille informatique.

Et hop, relaxe générale !

Pendant ce temps-là, vous, si vous oubliez un centime sur votre déclaration d’impôts, Bercy vous retrouvera plus vite que votre ex sur Instagram.

Bilan : le bug de trop ?

On retiendra surtout de cette affaire :
📌 Le logiciel de la DGFiP est un sketch à lui seul.
📌 Attribuer un autre prénom à quelqu’un ne vaut pas usurpation d’identité.
📌 Le nom Jean-Michel Trogneux colle à la peau de Brigitte Macron, et cette décision n’y changera rien.

Bref, Jean-Michel ou Brigitte, l’affaire est classée. Mais ne vous avisez pas d’essayer ce genre de blague sur votre feuille d’impôts… à moins d’avoir de très bons avocats et un bug informatique en renfort !

👉 Et vous, que pensez-vous de ce verdict ? Faut-il mettre à jour Bercy… ou le tribunal ? Dites-le en commentaire ! 💬

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