Après l’essence et l’électricité, voici venu le temps de la restriction numérique. Sous prétexte écologique, le gouvernement envisage de limiter les forfaits mobiles avec beaucoup de données. Adieu les offres généreuses, bonjour la tarification progressive qui risque de faire exploser les factures. (source : Les Numériques)
La fin des forfaits illimités : l’État veut encadrer la data
L’Ademe et l’Arcep ont sorti leurs rapports alarmistes : les forfaits mobiles représenteraient 4,4 % de l’empreinte carbone nationale. Un chiffre qui justifierait une refonte totale des abonnements mobiles en France.
L’objectif affiché ? Imposer une tarification progressive des données mobiles, comme dans certains pays scandinaves. En clair, plus vous consommez de data, plus vous paierez cher. Une mesure qui vise à encourager l’utilisation du Wi-Fi et à « responsabiliser » les abonnés.
Les forfaits XXL à prix cassé, popularisés par Free et repris par tous les opérateurs, risquent de disparaître. Une nouvelle contrainte pour les usagers sous couvert d’écologie.
Une atteinte aux libertés numériques ?
Limiter la consommation de data, c’est aussi restreindre l’accès à l’information et au divertissement. À l’heure où le numérique est devenu un droit fondamental, cette réforme pose la question de la liberté numérique.
Car qui seront les premiers touchés ? Les étudiants, les travailleurs en déplacement, ceux qui vivent en zone blanche sans fibre. Ceux qui, faute d’accès à un réseau fixe de qualité, dépendent des forfaits mobiles pour travailler, apprendre et se divertir.
Pendant ce temps, les élites continueront à surfer en illimité sur la fibre des ministères.
L’écologie, un prétexte bien pratique
Étrangement, l’État n’a jamais eu de mal à encourager le déploiement de la 5G à coups de milliards d’investissements. Mais aujourd’hui, on nous explique que les réseaux mobiles polluent trop et qu’il faut apprendre à se rationner.
Plutôt que de s’attaquer aux véritables pollueurs – les industries, les transports, les grandes entreprises du numérique – on culpabilise l’utilisateur lambda. Encore une fois, ce sont les citoyens qui doivent payer l’addition.
Une réforme qui favorise les opérateurs ?
Les opérateurs téléphoniques protestent officiellement contre ce projet, mais soyons réalistes : une tarification progressive, c’est une aubaine pour eux. Aujourd’hui, un forfait 200 Go à 20 € permet de consommer sans compter. Avec ce projet de loi, ce type d’abonnement pourrait disparaître au profit de nouvelles formules « flexibles », où chaque Go supplémentaire sera facturé au prix fort.
Résultat ? Des factures plus élevées et une consommation sous contrôle.
Conclusion : une nouvelle restriction au nom du climat
Après les restrictions énergétiques et la surveillance numérique, voici la régulation des données mobiles. Sous couvert de bonnes intentions écologiques, ce projet de loi ouvre la porte à une limitation du numérique et à une hausse des coûts pour les citoyens.
Alors, bientôt une carte de rationnement pour avoir le droit de regarder YouTube ?
Citation de Madame-Raleuse.com
Bientôt une taxe sur l’air qu’on respire ? La data devient un luxe !
Exprimez-vous !
Limiter la data au nom de l’écologie : vraie nécessité ou nouvelle arnaque ? Sommes-nous condamnés à payer toujours plus pour moins ? Donnez votre avis !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Coup double pour Macron et son gouvernement, augmentation des tarifs = plus de taxes et les accros des jeux en ligne n’hésiteront pas à passer une partie de leur salaire dans leur abonnement.
Restriction de l’information pour ceux qui ont les revenus les plus faibles et qui n’auront plus un accès illimité à votre site et aux autres sites d’information.