Madame-Raleuse.com – 7e augmentation en 3 ans. Non, ce n’est pas un bug de votre simulateur fiscal, c’est la réalité dorée de l’Union européenne. (source : BILD)
Pendant que l’inflation ronge les économies des Européens, que les classes moyennes jouent à la roulette russe avec leur facture de chauffage, et que les étudiants bouffent des pâtes premier prix, une autre réalité plus moelleuse se dessine à Bruxelles. Celle d’Ursula et de ses petits camarades bien nourris, qui, pour la septième fois en trois ans, vont gentiment voir leur salaire grimper. Une tradition désormais semestrielle, parce qu’une fois par an, c’était tellement 2019.
Selon Bild, cette hausse — on s’accroche à son SMIC — porterait la rémunération d’Ursula von der Leyen à 34 800 euros par mois. Oui, vous avez bien lu. Pendant que certains espèrent que leur ticket resto ne soit pas rejeté au supermarché, la présidente de la Commission européenne va voir sa fiche de paie enfler de 2 700 euros. Juste de quoi acheter un T2 à Paris. Une fois par mois.
Et ce n’est pas tout ! Les commissaires européens, ces apôtres de la rigueur budgétaire… pour les autres, toucheront désormais 28 400 euros mensuels, soit une augmentation de 2 200 euros. Quant aux petits mains de l’UE ? Leur salaire minimum passe à 3 645 euros. Une misère ? Non, une promotion. Pendant que certains rêvent de 2 000 euros net, d’autres appellent ça la base.
L’algorithme magique de Bruxelles
Mais comment justifie-t-on cette générosité automatique ? Facile : un modèle de calcul opaque, indexé sur l’inflation de Bruxelles et Luxembourg (parce que là-bas, même l’air coûte cher), mais aussi sur les salaires des fonctionnaires des États membres. Résultat : alors qu’on nous vendait l’austérité comme un retour aux vraies valeurs, les salaires des eurocrates augmentent désormais tous les six mois.
Parce que l’Europe va mal, très mal… sauf quand il s’agit de revaloriser les traitements de ceux qui la dirigent. La dernière augmentation remontait à novembre 2024. Une paille : 16,6 millions d’euros pour remettre à niveau les fiches de paie. Et tout ça bien sûr, sans creuser le budget. Enfin, sauf pour vous.
Ursula, l’Europe et le reste du monde
“Il faut montrer l’exemple”, disent-ils. Et quel bel exemple en effet : alors que les hôpitaux ferment, les agriculteurs crient famine, et les travailleurs galèrent à remplir leur frigo, Bruxelles s’offre une 7e tournée de hausses. Le peuple serre la ceinture, les élites se desserrent le col.
On comprend mieux pourquoi certains chefs d’État, comme Viktor Orban ou Robert Fico, commencent à lever la tête : quand on voit où part l’argent, bloquer des sanctions ou refuser des réformes européennes, ça devient presque une question de décence.
Conclusion (mais pas la fin de la blague)
L’Union européenne, ce n’est plus une institution, c’est une start-up du confort financier. La différence ? Ici, on n’a jamais peur de licencier… sauf quand il s’agit de supprimer une prime ou un privilège. À ce rythme, Ursula pourra bientôt embaucher un stagiaire pour porter ses bulletins de salaire. Payé 3 600 euros bien sûr — on ne va pas être mesquin.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Que disait ALEXANDRE SOLJENITSYNE sur les Européens =
« Vous les Européens, vous êtes dans une éclipse de l’intelligence . Vous allez souffrir. Le Gouffre est Profond.
Vous êtes malades, vous avez la maladie du vide. Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures.
Alexandre SOLJENITSYNE après avoir vécu en Europe de l’Ouest et aux USA(1918-2008)«