Pendant que Donald Trump, fraîchement réélu, sort la calculette magique pour rayer l’impôt sur le revenu des Américains les moins riches, la France, elle, gratte les fonds de tiroir avec la grâce d’un huissier sous acide.
Aux États-Unis, c’est officiel : si vous gagnez moins de 150 000 dollars par an, bye bye l’impôt sur le revenu. Merci qui ? Merci Donald. Selon le secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, cette mesure vise à soutenir la classe moyenne et stimuler l’économie. Et le tout sans créer de nouvel impôt compensatoire, mais avec cette petite phrase qui tue : « l’argent va revenir naturellement dans l’économie ». Oui, comme par magie. Abracadabra fiscal.
🔴🇺🇲DERNIÈRE HEURE : Trump va éliminer l'impôt sur le revenu pour les Américains gagnant moins de 150 000 $, selon le secrétaire au Commerce Howard Lutnick. pic.twitter.com/dAjef1arNo
— Trump Fact News 🇺🇸 (@Trump_Fact_News) March 22, 2025
Pendant ce temps-là, en France, on ne supprime rien, on invente. Taxe sur les piscines vues par satellite, taxe sur les voitures de fonction, taxe sur les locations Airbnb, taxe sur la taxe de séjour… Et comme ça ne suffit pas, le gouvernement prévoit de taxer les plus-values sur les résidences principales, histoire de vous faire payer même quand vous partez.
Bienvenue en République des Ponctions, où si tu gagnes 1 €, tu dois en rendre 2, parce que le premier, tu l’as gagné « trop facilement ».
Pendant que Trump dégraisse, Macron engraisse
Trump joue les Robin des Bois inversé à l’envers : il enlève des charges aux petits et moyens revenus (vous savez, ceux qui bossent vraiment). Macron, lui, suit plutôt le modèle « Baron des Bois », celui qui vous rackette au péage, à la pompe, à la cantine, au parking, à la TVA et au sourire trop large qui « cache une activité commerciale non déclarée ».
Et quand l’Américain garde ses sous, le Français, lui, garde ses tickets de caisse pour pleurer dedans.
C’est sûr que la suppression de l’impôt sur le revenu en France… c’est aussi probable qu’un remboursement d’abonnement SNCF en temps et en heure.
Dette abyssale contre pari économique
Oui, l’Amérique aussi est endettée. Mais elle tente un pari : stimuler le pouvoir d’achat pour relancer l’économie.
La France ? Elle préfère continuer à piller l’épargne des classes moyennes, sous prétexte de « solidarité » , de « réarmement » et « services publics ». Services qui, soit dit en passant, sont plus difficiles à joindre qu’un conseiller bancaire après le 10 du mois.
Conclusion : À quand un Trump français ? Ah oui, c’est vrai… on a déjà Darmanin.
Trump abolit un impôt.
Macron multiplie les formulaires Cerfa.
Trump libère les classes moyennes.
Bercy les menace de redressement pour une erreur de 0,42 €.
Trump dit : « Gardez votre argent. »
La France dit : « On vous le prend maintenant, et on verra plus tard si c’était légal. »
Moralité ? En 2025, l’Américain voit son avenir en billets de banque.
Le Français, lui, voit le sien… en tickets de caisse.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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